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France Télévisions : l’enquête Bygmalion s’élargit

Une autre société, Big Communication, aurait fait l’objet de contrats suspects avec France Télévisions, dont Bastien Millot était le numéro trois.

Le Monde

Publié le 08 octobre 2014 à 11h33, modifié le 19 août 2019 à 14h39

Après Bygmalion, une autre société, Big Communication, aurait fait l’objet de contrats suspects avec France Télévisions. C’est ce qu’écrit Le Canard enchaîné dans son édition du 8 octobre, citant les enquêteurs en charge du volet France Télévisions de l’affaire Bygmalion, instruite par le juge Van Ruymbeke.

Fondée en octobre 2007 par un producteur nommé Pierre-Antoine Boucly, cette entreprise se serait vu octroyer deux contrats (de « conseil stratégique » et d’« enquêtes téléphoniques ») par France Télé Services, alors dirigée par Bastien Millot, futur créateur de Bygmalion, pour environ 150 000 euros.

Un an plus tard, en septembre 2008, M. Boucly est recruté par M. Millot au sein de Multimedia France Productions (MFP), une autre filiale du groupe. Bastien Millot se met alors en disponibilité de France TV pour créer Bygmalion, qui bénéficie rapidement de contrats fournis par MFP, toujours selon Le Canard.

Pendant ce temps, Big Communication aurait continué de bénéficier de contrats jusqu’en avril 2011, pour un chiffre d’affaires qui atteindrait 270 000 euros. Des contrats attribués sans appel d’offres. Pierre-Antoine Boucly, lui, a quitté France Télévisions début 2011, selon le groupe.

>> Lire aussi : Affaire Bygmalion : le PDG de France Télévisions entendu au pôle financier

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