Cerveau et psy

L'analgésie intrathécale est proposée uniquement dans le cas de douleurs intenses d'origine cancéreuse, réfractaires aux traitements usuels.

Des micro-injections de toxine botulique pour traiter la migraine chronique sévère : une approche devenue possible en France.

Des chercheurs américains ont conçu un dispositif d’un centimètre cube, capable de stimuler le cerveau. Cet appareil est plus facile à installer que les implants actuels et ne requiert pas de chirurgie lourde du cerveau.

La technique Tens repose sur un courant électrique de faible tension directement appliqué sur la peau au niveau des zones concernées grâce à des patchs contenant des électrodes reliées à un stimulateur électrique.

Permettre une détection précoce des maladies neurodégénératives, telles qu'Alzheimer ou Parkinson, chez les personnes âgées grâce à la réalité virtuelle : c'est la toute dernière innovation développée par l'université de Caen.

Il n’existe, à l’heure actuelle, aucun traitement pour arrêter l’avancée de la maladie de Charcot. Un syndrome qui aboutit à une paralysie complète et au décès des patients, et dont souffrait notamment le scientifique Stephen Hawking. Des chercheurs de l’Inserm font un bond en avant et découvrent non seulement un moyen de diagnostiquer précocement la maladie, mais aussi une cible potentielle pour un nouveau traitement.

Les effets d'événements traumatisants peuvent se faire sentir sur plusieurs générations. Des chercheurs ont déjà montré que les troubles du comportement dus au stress peuvent être légués chez des rongeurs à leur progéniture.

Grâce à l'intelligence artificielle, des scientifiques sont capables d'identifier le sexe d'une personne en se basant sur le schéma d'activation de son cerveau avec une fiabilité de 90%. Une première, qui pourrait se révéler utile face à certains troubles ou maladies neurologiques ou psychiatriques dont les caractéristiques diffèrent avec le sexe du patient.

Cette dernière décennie, le développement des implants cérébraux s'est accéléré de façon vertigineuse, avec des résultats époustouflants.

Alors qu'une femme sur 10 est touchée par le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), selon une étude, elles auraient 8 fois plus de risque de suicide que les femmes non atteintes par ce syndrome.