Dans les 72 pays étudiés sauf un (l’Arabie saoudite), même à performances égales, les filles étaient davantage enclines à attribuer leurs échecs à un manque de talent que les garçons, eux plus prompts à blâmer des éléments extérieurs.
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Dans les 72 pays étudiés sauf un (l’Arabie saoudite), même à performances égales, les filles étaient davantage enclines à attribuer leurs échecs à un manque de talent que les garçons, eux plus prompts à blâmer des éléments extérieurs. © thinkstock

Les filles attribuent davantage leurs échecs à un manque de talent

Lorsqu’elles sont confrontées à un échec, les filles ont davantage tendance à l’attribuer à un manque de talent de leur part que les garçons, et ce partout sur la planète, selon une étude parue mercredi.