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Présidentielle : ce qu'il faut retenir de la journée du lundi 21 mars

A trois semaines du premier tour, Eric Zemmour perd deux points dans notre sondage OpinionWay - Kéa Partners. Il passe pour la première fois sous la barre des 10 %. Valérie Pécresse gagne, elle, un point et regagne la troisième place ex aequo avec Jean-Luc Mélenchon, à 13 % des intentions de vote.

Eric Zemmour le 17 mars lors de l'émission politique « Elysée 2022 ».
Eric Zemmour le 17 mars lors de l'émission politique « Elysée 2022 ». (ISA HARSIN/SIPA)

Par Les Echos

Publié le 21 mars 2022 à 08:50Mis à jour le 22 mars 2022 à 09:12

Moins de trois semaines avant le premier tour, les candidats entament la dernière ligne droite de la campagne. Dans notre sondage quotidien,Emmanuel Macron possède toujours une large avance, avec 29 % des intentions de vote. Dans le match pour la seconde place, Marine Le Pen (18 %) est toujours la mieux placée, devant Jean-Luc Mélenchon, en pleine dynamique (13 %) et Valérie Pécresse (13 %). Eric Zemmour (9 %) est en baisse.

>>> Retrouvez les temps forts du lundi 21 mars

20 h 43 - Carburants : le gouvernement réfléchit à un dispositif d'aide plus ciblé

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Face à la flambée des prix du carburant, le gouvernement réfléchit à la mise en place d'un dispositif d'aide plus ciblé. « Ce sur quoi je suis en train de travailler c'est un dispositif [… ] qui soit un peu différent des 15 centimes pour tout le monde », a expliqué Jean Castex, invité du 20 heures de TF1. Ce dernier serait « sans doute plus intensif » pour deux catégories de Français « ceux qui roulent beaucoup pour aller travailler » et « ceux dont les revenus sont bas », a précisé le Premier ministre.

20 h 39 - « Nous allons effectivement réformer la retraite », Jean Castex défend la proposition du président candidat

Jean Castex a défendu, sur TF1 la réforme de la retraite proposée par Emmanuel Macron. « Cela s'accompagnera de mesures spécifiques, pour les carrières longues et les métiers difficiles », a-t-il détaillé.

« Les modalités seront concertées. Il faut quelque chose de simple et de clair », a estimé le Premier ministre. Si le président de la République est réélu, l'intention est de faire cette réforme « assez rapidement ». « C'est une nécessité pour le pays », a affirmé Jean Castex, qui a également défendu la refonte du RSA proposée par Emmanuel Macron.

20 h 32 - Jean Castex confirme son soutien à Emmanuel Macron

Le Premier ministre, invité du JT de TF1, a indiqué soutenir la candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle. « Je viens ce soir avec une casquette particulière qui est celle du soutien au candidat Emmanuel Macron. C'est la première fois que je m'exprime à ce titre. Il n'était pas envisageable que je ne donne pas mon sentiment à mes concitoyens pour cette élection », a expliqué Jean Castex.

« Je veux témoigner devant nos concitoyens combien il me semble nécessaire qu'ils puissent lui donner le mandat pour poursuivre sa mission dans le contexte que nous connaissons », a-t-il ajouté.

18 h 58 - Ecole : Jadot veut bâtir un « projet de réconciliation »

Yannick Jadot a présenté son programme pour un « grand projet de réconciliation autour de l'école ». Le candidat écologiste prône l'embauche de 65.000 postes d'enseignants. Il a déploré, lors d'une conférence de presse, que l'école ait été « maltraitée » durant le quinquennat écoulé, notamment durant la crise de Covid-19, et que ce sujet « essentiel » soit « un élément ignoré dans cette campagne ». Yannick Jadot a proposé de remettre à plat les questions de programmes, de rythmes scolaires, ou encore de mixité sociale à l'école au travers d'une « conférence de consensus » réunissant tous les acteurs.

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18 h 20 - Le risque d'une abstention record pèse sur l'élection

Selon les enquêtes d'opinion, l'abstention au premier tour de la présidentielle pourrait atteindre voire dépasser le record du 21 avril 2002. Une désaffection pour les urnes qui ne pèserait pas de la même façon sur tous les candidats.

17 h 56 - Législatives : Rousseau, Bayou et Regol en passe d'être investis par EELV

Europe Ecologie-Les Verts a procédé à la première étape de l'investiture pour les élections législatives de juin de Sandrine Rousseau, Julien Bayou ou encore Sandra Regol. Ces investitures, décidées par un comité interne du parti samedi, en lien avec les propositions locales, doivent encore être validées par un vote à venir des militants. Le nom de Yannick Jadot, parfois pressenti pour être candidat aux législatives en cas d'échec, probable, à la présidentielle, n'a pas à ce stade été désigné.

17 h 50 - L'inquiétude gagne le camp Pécresse

L'inquiétude sur l'issue de la présidentielle grandit au sein de LR. Une résignation qui irrite la garde rapprochée de la candidate, pour qui la bataille pour accéder au second tour n'est pas encore perdue.

17 h 45 - Emmanuel Macron veut réduire la fiscalité des couples en union libre

Le président-candidat veut « permettre à tous les couples vivant ensemble de réduire leurs impôts comme s'ils étaient mariés ou pacsés ». Une manière de coller à l'évolution de la société et de redonner du pouvoir d'achat aux Français.

17 h 34 - Mélenchon devant Zemmour selon un sondage

Emmanuel Macron reste en tête des intentions de vote au premier tour de la présidentielle, mais sous la barre des 30 % (à 28 %), suivi par Marine Le Pen (18,5 %), tandis que Jean-Luc Mélenchon (14 %) passe devant Eric Zemmour (12,5 %) selon un sondage « rolling » Ifop-Fiducial. Au second tour, Emmanuel Macron l'emporterait par 56 % des suffrages face à Marine Le Pen (44 %).

17 h 20 - Tout savoir sur l'élection présidentielle

La prochaine élection présidentielle en France aura lieu les 10 et 24 avril 2022. Retrouvez dans ce guide de l'élection le mode d'emploi du scrutin, ce qu'il faut savoir sur les candidats et leurs programmes mais aussi les temps forts de la campagne et les résultats des sondages exclusifs réalisés par OpinionWay et Elabe pour « Les Echos ».

17 h 17 - Les pistes qui s'offrent à Emmanuel Macron pour transformer Pôle emploi

Le président-candidat veut remédier au manque de coordination entre les intervenants qui aident les personnes privées d'emploi. De leur intégration dans une seule entité à la création de comités locaux, revue de détail des pistes sur la table qui, toutes, imposent un chambardement informatique.

17 h 06 - Pécresse favorable à plus d'autonomie dans des régions, mais pas dictée par « la peur de la rue »

La candidate LR à la présidentielle a déclaré être favorable à donner de nouvelles compétences aux régions si elles les exercent mieux que l'Etat. Elle a en revanche critiqué le président Emmanuel Macron qui promet plus d'autonomie « par peur de la rue », selon elle. « L'Etat fait beaucoup mais il fait mal et il essaye d'imposer des normes nationales à des territoires qui ont des spécificités régionales. Je suis favorable à ce qu'on lance, dès mon arrivée, une vraie concertation avec toutes les grandes régions et tous les territoires métropolitains et ultramarins sur quelles peuvent être les compétences qu'ils exerceraient mieux que l'Etat », s'ils les exercent « au plus près », a-t-elle déclaré.

16 h 51 - Jordan Bardella écrit à Gérald Darmanin

Le président par intérim du Rassemblement national Jordan Bardella a écrit au ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin pour lui demander de « sévir » contre les auteurs d'agressions de militants de son parti comme de celui d'Eric Zemmour. « Par ce courrier, je veux attirer votre attention sur la succession ininterrompue d'agressions ayant visé ces derniers jours des hommes et des femmes engagés dans la campagne électorale », explique-t-il. « Cette escalade doit cesser immédiatement avant qu'un drame ne survienne. L'Etat doit sévir à l'endroit de tous ceux qui empêchent la libre expression des opinions politiques dans notre pays », ajoute l'eurodéputé.

16h39 - Valérie Pécresse présente son programme pour les Outre-mer

La candidate des Républicains a affirmé vouloir « reconstruire un pacte de confiance avec nos Outre-mer fondé sur l'attachement à la République, le respect de l'identité ultramarine et la dignité de chacun. » Valérie Pécresse a défendu « une égalité sociale et économique réelle » pour ces territoires, en promettant notamment « une grande loi de programmation de 10 ans pour combler les retards de développement et corriger les inégalités inacceptables en matière d'éducation, de logement et de santé. » Elle s'est aussi engagée à donner davantage de moyens à la justice pour « rétablir l'Etat de droit partout où cela s'impose ».

15h48 - Des jeunes largement défiants vis-à-vis de la classe politique

Selon un sondage Ifop pour Spotify et publié par « Libération » , 4 jeunes 18-30 ans sur cinq pensent que « le personnel politique n'est pas honnête » et la même proportion que les « jeunes de [leur] génération ne croient pas en l'action politique ». Seulement un tiers de cette classe d'âge estime que « le personnel politique comprend les enjeux de la jeunesse ». Les sujets les plus déterminants pour les jeunes sont la santé (65 %), les salaires et le pouvoir d'achat (62 %) et l'éducation (57 %).

15h35 - Emmanuel Macron va multiplier les interventions médiatiques

France Bleu a annoncé que le président sortant serait l'invité de l'émission « Ma France » demain, de 13h à 14h. Selon « Le Parisien » , il devrait également intervenir dans le « 19.45 » de M6 mercredi soir, puis dans « Dimanche en politique » sur France 3 ce dimanche. Hormis une émission sur France 2, la parole du candidat Macron s'est jusqu'ici fait rare en dehors de ses conférences de presse et ses « conversations » avec les Français.

14h08 - Fabien Roussel défend la prolongation des centrales nucléaires belges

Le candidat communiste, défenseur du nucléaire, a estimé que « les Belges ont raison de prolonger le nucléaire dans leur pays ». Fabien Roussel réagissait à un article faisant état de l'inquiétude d'un land allemand qui estime qu'« il faut tenir compte des pays voisins » alors que la Belgique a décidé de maintenir en activité ses centrales nucléaires jusqu'à 2035 alors que leur fermeture était prévue pour 2025. « Et quand l'Allemagne pollue la France avec ses centrales à charbon ? », a ironisé le candidat.

12h00 - Sondage : la dégringolade d'Eric Zemmour se confirme, un début de rebond pour Valérie Pécresse

Le candidat de Reconquête est crédité de 9 % des intentions de vote dans le baromètre OpinionWay - Kéa Partners pour « Les Echos » et Radio classique. Eric Zemmour recule de 2 points par rapport à vendredi et de 6 points sur un mois, se trouvant ainsi à son niveau le plus bas depuis le début de l'année.

Deux candidates gagnent un point chacune : Marine Le Pen à 18 % des intentions de vote et Valérie Pécresse à 13 %. Cela permet à la candidate des Républicains d'être à la 3e place ex aequo avec Jean-Luc Mélenchon (stable) et confirme un début de rebond plus qu'elle avait déjà gagné un point vendredi.

11h54 - Eric Zemmour « bénit la colonisation française »

Le candidat de Reconquête, dont les parents sont des juifs d'Algérie immigrés en France au début des années 1950, « ne considère pas que la colonisation fut un crime contre l'humanité ». « Je considère que la colonisation est l'histoire de l'humanité », a déclaré Eric Zemmour sur RMC. « Tout peuple a été colonisateur et colonisé. Nous-mêmes avons été colonisés par les Romains et n'allons pas le reprocher éternellement aux Italiens », a-t-il poursuivi.

« Les Algériens eux-mêmes ont des colonisateurs car moi-même qui suis d'origine berbère, j'ai été colonisé par les Arabes d'Algérie qui gouvernent le pays, j'ai été colonisé ensuite par la France et je bénis la colonisation française, qui m'a permis de venir à Paris, d'avoir accès à la grande littérature française, de découvrir Chateaubriand, Pascal, Victor Hugo », a ajouté Eric Zemmour.

« Je ne suis pas Algérien d'origine », a-t-il encore poursuivi. « L'Algérie n'existait pas, l'Algérie est une invention de la France », a-t-il estimé. « Je suis un juif d'Algérie ou un berbère d'Algérie : je n'ai pas de père et de mère, mon père et ma mère, c'est la France », a affirmé Eric Zemmour, interrogé sur sa position sur la double nationalité.

10h38 - Marine Le Pen n'a « pas d'admiration particulière » pour Volodymyr Zelensky

« Je ne serai pas présente (mercredi à 15H00 lors de l'intervention par vidéo du président ukrainien Volodymyr Zelensky devant l'Assemblée nationale, NDLR), j'ai des obligations prises depuis bien longtemps », a déclaré sur franceinfo la candidate du Rassemblement national à la présidentielle. Interrogée pour savoir si elle avait de l'admiration pour le président ukrainien, Marine Le Pen a répondu : « non je n'ai pas d'admiration particulière pour M. Zelensky, je crois juste qu'il se comporte comme un chef d'Etat. Et ça ne devrait pas susciter l'admiration, ça devrait être 'normal'».

Quelques heures plus tard, la candidate s'est ravisée pour finalement annoncer sa présence mercredi à l'Assemblée nationale. « On a bougé une émission » et « avancé une interview d'un jour », a expliqué à l'AFP l'équipe de campagne de la candidate d'extrême droite.

10h20 - Des candidats prêts à dépenser des montants vertigineux pour les retraites

Marine Le Pen , Jean-Luc Mélenchon et Fabien Roussel s'engagent à laisser les Français partir à la retraite dès 60 ans. Des promesses qui auront un coût vertigineux, prévient l'Institut Montaigne qui les a chiffrées pour « Les Echos ». La revalorisation des pensions minimales, défendue par de nombreux candidats, dont Valérie Pécresse , pèsera aussi sur les comptes.

10h01 - Marine Le Pen « ennemie de la République », selon Christophe Castaner : « des injures », répond-elle

La candidate du Rassemblement nationale a été qualifiée d'« ennemie de la République » par le chef des députés La République en marche. « Ce sont les vieux socialistes préhistoriques qui n'ont que ça à la bouche parce que depuis 30 ans ils n'ont que ça pour justifier leurs positions », a raillé Marine Le Pen . « En quoi dans mon projet y a-t-il une mesure contraire à nos valeurs républicaines ou constitutionnelles ? Il ne profère que des injures », a-t-elle ajouté sur franceinfo.

09h35 - RSA : « L'allocation, c'est la réponse des lâches », dit Christophe Castaner

Invité de BFMTV et RMC, l'ancien ministre de l'Intérieur a défendu la proposition d' Emmanuel Macron , qui veut conditionner le versement du RSA à un minimum d'activité. « Je ne considère pas que les gens qui sont au RSA ne veulent que l'allocation. Je pense qu'ils veulent s'insérer », a-t-il déclaré. « Offrir à ceux qui sont le plus éloignés de l'emploi la possibilité d'aller vers l'emploi, c'est une mesure de justice », a-t-il justifié. « Accompagner quelqu'un vers l'insertion, c'est toujours mieux que de lui donner une allocation. L'allocation, c'est la réponse des lâches […] Nous, on préfère accompagner ».

09h20 - Marine Le Pen s'en prend à Jean-Luc Mélenchon

« Tant que l'élection n'a pas eu lieu, toutes les hypothèses sont possibles », a indiqué la candidate du Rassemblement national, interrogée sur la montée de Jean-Luc Mélenchon dans les sondages. Cependant, « j'en appelle aux électeurs qui sont attachés à la France. Jean-Luc Mélenchon, c'est le soutien à des théories racialistes, le soutien à des groupements islamistes. C'est vraiment une politique de déconstruction de notre pays. Donc tous ceux qui sont des patriotes doivent regarder cette situation et voter en conscience ».

08h50 - Ce qu'Emmanuel Macron prévoit pour la rémunération des fonctionnaires

Après la haute fonction publique, le président-candidat a annoncé son intention de réformer la rémunération des fonctionnaires en s'appuyant sur le rapport que viennent de remettre Paul Pény et Jean-Dominique Simonpoli.

08h45 - Gérald Darmanin pense que les Français se déplaceront « en masse » pour l'élection

Alors que plusieurs sondages laissent présager un fort taux d'abstention, le ministre de l'Intérieur s'est dit « confiant » malgré tout. « Les Français sont très attachés à la démocratie et au suffrage universel direct » pour l'élection présidentielle, a-t-il assuré sur RTL. « Laissons-les aller en masse dans les bureaux de vote. En tout cas je ne peux qu'encourager chacune et chacun à s'exprimer ».

Gérald Darmanin a par ailleurs répondu à Gérard Larcher, qui avait remis en cause la « légitimité » du vainqueur de l'élection. « Je crois qu'il s'est un peu oublié ce jour-là », a-t-il déclaré, estimant que c'était « l'amertume de son camp qui l'avait emporté ».

08h30 - Les classes populaires, clé de la campagne de Marine Le Pen

Les employés et ouvriers constituent le coeur de l'électorat de la candidate du Rassemblement national à l'Elysée, qui axe sa campagne sur le pouvoir d'achat. Encore faut-il qu'ils se déplacent pour voter.

08h10 - Jean Castex au 20 heures de TF1

Le Premier ministre entend contribuer à la campagne en faveur d' Emmanuel Macron . C'est en tant que soutien du président-candidat qu'il sera l'invité de Gilles Bouleau ce soir sur la première chaîne.

08h05 - Un sondage prédit une forte abstention

Selon une enquête BVA pour RTL et Orange, seuls 71 % des Français auraient l'intention d'aller voter lors de l'élection présidentielle. La part des Français inscrits sur les listes électorales se déclarant quasi certains d'aller voter est au plus bas depuis février, note RTL. Au total, 41 % des sondés pensent que le scrutin « ne changera rien à leur quotidien ».

Vidéo - Jean-Luc Mélenchon propose un Smic à 1.400 euros net

08h00 - Quel serait l'impact d'une réforme des retraites ?

Trois des principaux candidats à l'Elysée, dont l'actuel chef de l'Etat, veulent reporter l'âge d'ouverture des droits à la retraite à 64 ou 65 ans. Une mesure impopulaire, mais qui générerait d'importantes économies, selon les calculs effectués par l'Institut Montaigne pour « Les Echos ».

> Les temps forts du week-end

> Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé entre Bastille et République dimanche à Paris avec l'espoir de propulser Jean-Luc Mélenchon au second tour.

> Des militants d'Eric Zemmour ont été aspergés d'essence, insultés en marge de meetings ou encore lors du collage d'affiches. Le candidat et son parti ont déploré ces « menaces et violences », et ont demandé « à l'Etat de sévir ».

> Lors d'un discours organisé à l'occasion des 60 ans des accords d'Evian, Emmanuel Macron a affirmé qu'il entendait continuer à « tendre la main » aux autorités algériennes.

> Le Printemps républicain, qui entend porter un discours de gauche républicaine universaliste, a apporté samedi son soutien à Emmanuel Macron. Le chef de l'Etat a aussi reçu le soutien de Bertrand Delanoë.

Les Echos

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