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Marlène Schiappa fait la une de Playboy

Marlène Schiappa, secrétaire d'État à l'Économie sociale et solidaire, en une de Playboy.
Marlène Schiappa, secrétaire d'État à l'Économie sociale et solidaire, en une de Playboy. © Playboy
Elise Colette , Mis à jour le

DOCUMENT PARIS MATCH - Après Emmanuel Macron dans « Pif », Marlène Schiappa dans « Playboy » ! La secrétaire d’État à l’Économie sociale et solidaire figure en une de la prochaine édition du célèbre magazine de charme.

La photo que vous voyez ci-dessus n’a pas été générée par une intelligence artificielle. Elle est bien réelle. Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès de la Première ministre, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative, pose en une de Playboy.

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Dans son édition de printemps à paraître le 8 avril, le célèbre magazine de charme, que s’est procuré Paris Match, accorde douze pages d’interview à Marlène Schiappa. Et un shooting photo d’anthologie, où la membre du gouvernement d’Élisabeth Borne pose tout sourire dans différentes positions et diverses tenues bleues, blanches ou rouges.

Un acte d'émancipation

Dans la longue interview qu’elle a accordée au magazine, à la veille d’une journée de grève, la ministre donne sa vision des femmes, de leur liberté, de l’égalité qu’elles doivent toujours aller chercher avec les hommes. Se comparant à Pamela Anderson, Marlène Schiappa estime que figurer dans un tel média est un acte d'émancipation.

« La liberté sexuelle des femmes est une chose très importante, répond-elle à Jean-Christophe Florentin, le rédacteur en chef du magazine. N’en déplaise aux autres rétrogrades, les femmes doivent pouvoir faire exactement ce qu’elles veulent. Si elles veulent s’habiller en nonnes et ne jamais rencontrer d’hommes c’est leur choix et il faut les soutenir. Si elles ont envie de poser nues dans un magazine aussi. »

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Nul doute que les six photos d’une ancienne ministre à l’égalité femmes-hommes publiées dans une publication peu connue pour son féminisme, feront couler de l’encre et réagir dans la classe politique. Deux effets probablement recherchés tant par l’éditeur de Playboy que par la femme politique.

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