Cinq militaires belges visés par une enquête judiciaire pour négationnisme et xénophobie

Les cinq jeunes soldats sont accusés de négationnisme, d’incitation à la haine et de propos xénophobes, islamophobes et antisémites.
Temps de lecture: 1 min

Le parquet fédéral enquête sur cinq jeunes soldats belges pour négationnisme, incitation à la haine et propos xénophobes, islamophobes et antisémites. L’armée les a suspendus en attendant l’issue de la procédure judiciaire, a rapporté Sudinfo jeudi.

L’enquête a débuté en 2021 lorsque la Sûreté de l’Etat a découvert que l’un des cinq jeunes avait suivi un cours de tir en Pologne, dans une organisation privée soupçonnée d’avoir des liens avec l’extrême droite. Les cinq jeunes communiquaient entre eux via Messenger, Telegram, Whatsapp et le dark web, mais certains commentaires ont également été publiés sur Facebook. Ils sont également soupçonnés d’avoir harcelé l’un de leurs collègues militaires noirs.

Le Centre pour l’égalité des chances Unia s’est constitué partie civile dans cette affaire.

 

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