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Les gardiens de la Grande Guerre

portfolio Pour le centenaire de la Grande Guerre, la garde d'honneur de la nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette est mobilisée. Plus de 4000 bénévoles qui veillent sur ce lieu de mémoire où reposent 43 000 « poilus ».

Publié le 11 novembre 2014 à 12h05, modifié le 12 novembre 2014 à 14h19
  • Chaque fois que Georges Delcroix (ci-dessous) accroche son brassard tricolore à sa veste, il pense à son grand-père, un "poilu", mais aussi  à ses compagnons d'armes tombés en Algérie. Pour Roger Hallez, 75 ans (en haut), être garde d'honneur  est "un engagement patriotique".  En bas, Jean-Marie Legrand coiffe son béret, l'autre signe distinctif  des membres de la garde d'honneur. Photo: Philippe de Poulpiquet pour M Le magazine du Monde

    Chaque fois que Georges Delcroix (ci-dessous) accroche son brassard tricolore à sa veste, il pense à son grand-père, un "poilu", mais aussi à ses compagnons d'armes tombés en Algérie. Pour Roger Hallez, 75 ans (en haut), être garde d'honneur est "un engagement patriotique". En bas, Jean-Marie Legrand coiffe son béret, l'autre signe distinctif des membres de la garde d'honneur. Photo: Philippe de Poulpiquet pour M Le magazine du Monde Philippe de Poulpiquet / Philippe de Poulpiquet

  • Chaque fois que Georges Delcroix (ci-dessous) accroche son brassard tricolore à sa veste, il pense à son grand-père, un "poilu", mais aussi  à ses compagnons d'armes tombés en Algérie. Pour Roger Hallez, 75 ans (en haut), être garde d'honneur  est "un engagement patriotique".  En bas, Jean-Marie Legrand coiffe son béret, l'autre signe distinctif  des membres de la garde d'honneur. Photo: Philippe de Poulpiquet pour M Le magazine du Monde

    Chaque fois que Georges Delcroix (ci-dessous) accroche son brassard tricolore à sa veste, il pense à son grand-père, un "poilu", mais aussi à ses compagnons d'armes tombés en Algérie. Pour Roger Hallez, 75 ans (en haut), être garde d'honneur est "un engagement patriotique". En bas, Jean-Marie Legrand coiffe son béret, l'autre signe distinctif des membres de la garde d'honneur. Photo: Philippe de Poulpiquet pour M Le magazine du Monde Philippe de Poulpiquet / Philippe de Poulpiquet

  • Chaque fois que Georges Delcroix (ci-dessous) accroche son brassard tricolore à sa veste, il pense à son grand-père, un "poilu", mais aussi  à ses compagnons d'armes tombés en Algérie. Pour Roger Hallez, 75 ans (en haut), être garde d'honneur  est "un engagement patriotique".  En bas, Jean-Marie Legrand coiffe son béret, l'autre signe distinctif  des membres de la garde d'honneur. Photo: Philippe de Poulpiquet pour M Le magazine du Monde

    Chaque fois que Georges Delcroix (ci-dessous) accroche son brassard tricolore à sa veste, il pense à son grand-père, un "poilu", mais aussi à ses compagnons d'armes tombés en Algérie. Pour Roger Hallez, 75 ans (en haut), être garde d'honneur est "un engagement patriotique". En bas, Jean-Marie Legrand coiffe son béret, l'autre signe distinctif des membres de la garde d'honneur. Photo: Philippe de Poulpiquet pour M Le magazine du Monde Philippe de Poulpiquet / Philippe de Poulpiquet

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