À la suite d'une rencontre avec la police et les autorités communales, ils ont fait marche arrière.
"Les invitations et la programmation étaient prévues bien avant les attentats de Charlie Hebdo et autres, indique Christophe Krirem, de l'ASBL culturelle "L'Hirondelle". Mais plus on se rapprochait de ces dates, plus les intervenants et parfois mêmes certains participants et certaines personnes qui font partie du public nous téléphonaient ou nous envoyaient des e-mails pour nous demander si des mesures de sécurité étaient prévues pour encadrer l'événement."
Au vu du nombre de demandes, les organisateurs ont proposé une concertation avec les autorités locales et policières, qui leur ont conseillé de reporter ce débat, assurant que, "la prochaine fois", des mesures de sécurité particulières seraient prises "étant donné l'état d'alerte en Belgique depuis les événements qui ont encore secoué le Danemark le week-end dernier".
Hugues Van Peel