Définition du pouvoir d’achat, impact sur les ménages...retrouvez dans ce dossier les dernières actualités et infos sur le pouvoir d’achat.
En savoir plusD’après les données provisoires de l’Insee publiées vendredi 28 février 2025, les prix à la consommation ont augmenté de 0,8 % sur un an en février, après une hausse de 1,7 % en janvier. C’est la première fois depuis quatre ans que l’inflation en glissement annuel est inférieure à 1 %.
Dans l’immobilier, la crise continue pour le marché du neuf. D’après un rapport publié mercredi 26 février 2025 par le ministère de l’aménagement du territoire, 59 000 nouveaux logements ont été mis en vente en 2024. C’est 29 % de moins que l’année précédente et presque deux fois moins qu’en 2022.
Plusieurs banques françaises ont annoncé mardi 11 février renforcer leur coopération pour mutualiser des distributeurs de billets. Même si son utilisation décline, le paiement en liquide demeure utilisé en France dans plus d’une transaction sur deux. En 2025, pièces et billets restent des valeurs qui rassurent.
Emmanuelle Cosse, présidente de l’Union sociale pour l’habitat, s’alarme face à une forme de désintérêt, chez les politiques comme les citoyens, pour la question du logement. Pour résoudre cette crise, elle appelle à une vraie régulation, alors que la « main invisible du marché » a démontré son inefficacité.
Dans un long entretien télévisé sur la chaîne LCI lundi soir 27 janvier 2025, le premier ministre François Bayrou a évoqué de nombreux sujets de l’actualité : budget, éducation, fin de vie, immigration, ou pouvoir d’achat.
Selon l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), publié par Eurostat vendredi 17 janvier, la France fait partie des dix pays européens avec la plus faible inflation en 2024. Cela s’explique en partie par la sagesse des prix alimentaires et de l’énergie, mais aussi par la faiblesse du tissu industriel.
Au 1er février, le tarif réglementé de l’électricité (TRV) va baisser de 15 %, a annoncé la Commission de régulation de l’énergie, jeudi 16 janvier. Pour une famille de quatre personnes qui se chauffent à l’électricité dans une maison, l’économie sur la facture devrait tourner autour de 650 € en moyenne cette année.
Les tarifs réglementés d’électricité vont baisser de 15 % au 1er février a indiqué jeudi 16 janvier la commission de régulation de l’énergie. Une première depuis 2015 et une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat de plus de vingt millions de foyers.
La Commission de régulation de l’énergie a annoncé, mardi 7 janvier, que les frais d’acheminement de l’électricité vont augmenter de 7,7 % au 1er février. Malgré cela, la facture baissera de 14 % pour les ménages qui sont au tarif réglementé (TRV). La note sera, en revanche, plus élevée pour ceux ayant souscrit une offre à prix fixe.
La prime de Noël sera versée mardi 17 décembre aux bénéficiaires de minima sociaux, avec un montant minimum de 152,45 €, a fait savoir le gouvernement. Ce dispositif mis en place en 1998 n’a rien d’obligatoire mais le geste est devenu traditionnel. Le montant de cette aide n’a jamais été revalorisé.
Selon la Banque de France, la production de crédits immobiliers remonte doucement, à la faveur de la baisse des taux. Mais sans apport personnel, emprunter reste difficile, surtout pour les primo-accédants.
Alors que la Martinique est en proie depuis septembre à des protestations contre la vie chère, Olivier Sudrie décrypte les raisons de tels écarts de prix avec la France hexagonale. Pour lui, la paix durable est conditionné à la prise en compte du désarroi de la population et des profondes inégalités auxquelles elle fait face.
Le préfet de la Martinique a annoncé mercredi 16 octobre la signature d’un accord avec les distributeurs. Une réduction de 20 % en moyenne des prix de vente va être appliquée sur une liste de 54 familles de produits. Le collectif à l’origine de la mobilisation depuis le 1ᵉʳ septembre, appelle à poursuivre la mobilisation.
À l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, mercredi 16 octobre, retour sur l’expérience de Montpellier, où la caisse commune d’alimentation de le ville, lancée en 2023 avec une cinquantaine de personnes, en compte désormais 400. Chacun cotise selon ses revenus et reçoit une aide pour acheter des produits alimentaires de qualité. Consommateurs et producteurs, tout le monde s’y retrouve.
Le couvre-feu a été prolongé, lundi 14 octobre, en Martinique après les violences urbaines de ces derniers jours. Les enseignements en présentiel devraient tout de même progressivement reprendre. Une réunion de négociation avec l’État n’aura finalement pas lieu, faute de « nouvelle proposition concrète et viable ».
L’île est en proie depuis début septembre à des manifestations contre la vie chère, qui ont dégénéré dans la nuit de mercredi à jeudi 10 octobre. En cause, des écarts de prix avec l’Hexagone qui ne cessent de se creuser.
Les prix à la consommation ont progressé de 1,2 % en septembre sur un an, a annoncé l’Insee vendredi 27 septembre. L’organisme explique cette baisse importante par rapport à l’inflation de 1,8 % du mois août par la diminution de certains prix, notamment l’énergie et les services de santé.
Le couvre-feu partiel en place depuis bientôt une semaine a été prolongé jusqu’à jeudi, a annoncé lundi 23 septembre la préfecture de la Martinique, en proie à une vague de violences contre la vie chère. L’interdiction partielle de manifestations, elle, n’a pas été renouvelée.
L’interdiction des rassemblements « revendicatifs » a été décrétée vendredi 20 septembre à Fort-de-France et dans trois autres communes de la Martinique, en proie à une vague de violences contre la vie chère, un mouvement lancé début septembre. Cette mesure court de vendredi soir à lundi matin.
Un couvre-feu a été mis en place de 21 heures à 5 heures du matin, dès la soirée de mercredi 18 septembre. Depuis plusieurs jours, des violences ont lieu en marge d’un mouvement de contestation contre la vie chère. Le préfet a annoncé un renfort des forces de l’ordre.
En Martinique, la nuit de mardi à mercredi 18 septembre a de nouveau été émaillée de violences, dans un contexte de mobilisation contre la vie chère. Un escadron de gendarmes, soit une centaine de militaires, a été envoyé en renfort.
La BCE et la Réserve fédérale américaine entérinent actuellement la décrue de l’inflation en baissant leurs taux d’intérêt. Mais l’épisode inflationniste qu’a connu le monde occidental depuis 2020 a laissé des traces dans l’économie.
Avec le ralentissement économique mondial, la demande pétrolière est en berne et le prix du baril est tombé à son plus bas niveau depuis décembre 2021. Pour les ménages modestes, les économies réalisées à la pompe commencent à devenir significatives. Une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat.
Confrontés à des années d’hyperinflation, les agriculteurs turcs ne peuvent plus couvrir leurs coûts de production. Depuis cet été, un mouvement de protestation rare se constitue dans les campagnes contre Ankara.
Alors que le coût de la rentrée scolaire inquiète les ménages, le niveau de vie en berne des Algériens s’impose comme l’un des grands thèmes de l’élection. Lesquels redoublent d’astuces pour assurer les dépenses essentielles et continuer à investir dans l’éducation de leurs enfants.
Dans l’émission « Infrarouge » diffusée sur France 2 le mercredi 4 septembre à 20 h 50, un documentaire de Claire Lajeunie, « La bourse ou la vie, étudier à tout prix », suit six jeunes en situation de grande précarité. Ici, Anoa, étudiante boursière, choisit son repas du jour à 1 € au restaurant universitaire.
Le gouvernement tablait sur la vente de 700 000 Pass rail. Finalement, il ne s’est écoulé que 235 376 exemplaires de ces forfaits à 49 € par mois, permettant aux 16-27 ans d’emprunter de façon illimitée TER et trains Intercités. Au total, près de 2,4 millions de billets à zéro euro ont été fournis.
Bonne nouvelle pour les travailleurs français : les salaires devraient augmenter de 3,6 % en 2025, soit plus vite que l’inflation (attendue à 2,3 %), selon une étude du cabinet de conseil WTW publiée mercredi 31 juillet. Alors que la hausse des prix a fortement pesé sur le pouvoir d’achat ces dernières années, peuvent-ils vraiment espérer une amélioration de leur niveau de vie ?
Les débats actuels autour d’un smic à 1 600 € remettent sur la table le sujet de la juste rémunération. Le smic actuel ne permet pas toujours d’atteindre un niveau de vie décent. Plus largement se pose la question des inégalités de salaires au sein des entreprises.
Selon l’Insee, le taux de pauvreté est resté quasi stable à 14,4 % en 2022. Cela représente 9,1 millions de personnes qui vivent avec moins de 1 216 € par mois pour une personne seule.
L’union des partis de gauche se concentre économiquement sur la relance par la consommation et sur l’ouverture de nouveaux droits sur le plan sociétal. Smic à 1 600 €, planification écologique, bouleversement fiscal… Voilà les principales mesures du Nouveau Front populaire, à l’approche du 2nd tour des élections législatives.
Carrefour a inauguré, jeudi 20 juin, le premier magasin Atacadao de France, en Seine-Saint-Denis. Le principe de cet immense hypermarché aux allures d’entrepôt ? Un grossiste à petit prix pour les professionnels comme les particuliers, alors que le pouvoir d’achat est la première préoccupation des Français.
Gabriel Attal et la majorité sortante proposent d’exonérer une partie des « frais de notaire » pour un achat immobilier de moins de 250 000 €. Ils espèrent soutenir les « ménages populaires » pour leur première acquisition, mais la mesure pourrait rater sa cible et avantager surtout des ménages aux revenus conséquents.
EXCLUSIF. Selon une étude du Crédoc dévoilée par La Croix, les Français, contraints par l’inflation, accordent moins d’importance à l’environnement et au bio pour remplir leur panier. Une baisse de la consommation de produits issus de l’agriculture biologique notamment qui retarde l’essor de la filière.
Le Rassemblement national prévoit de baisser la TVA sur l’énergie pour baisser les dépenses des Français, dans son programme pour les élections législatives anticipées. La mesure est coûteuse, risque d’être bloquée par l’Union européenne, et favorise plutôt les ménages les plus riches.
Engagée dans une recherche d’économies depuis plusieurs mois, la majorité présidentielle se retrouve à promettre des mesures en faveur du pouvoir d’achat. Moins coûteuses que celles du Rassemblement national ou du Nouveau Front populaire, elles pèseront tout de même sur les comptes publics.
Le pouvoir d’achat a été la première cause motivant le vote des Français aux élections européennes. Sa position « en tête de peloton » des préoccupations n’est pas nouvelle, et s’explique autant par le choc de l’inflation que par des causes structurelles de la société de consommation.
La facture de gaz des ménages va être alourdie en moyenne de près de 12 %, le 1er juillet, pour faire face à la hausse des charges de distribution, a annoncé la Commission de régulation de l’énergie, lundi 10 juin. Avec la dissolution de l’Assemblée nationale et la campagne des législatives qui s’ouvre, le sujet va prendre une dimension très politique.
L’inflation en France a ralenti encore en avril, à + 2,2 % sur un an, selon les résultats provisoires communiqués mardi 30 avril par l’Insee. La progression sur un an avait été de 2,3 % en mars, alors qu’elle était de 5,9 % en avril 2023. Les prix de l’énergie continuent de baisser.
Depuis 2019, l’encadrement des loyers à Paris a permis d’atténuer la hausse des loyers de 64 € par mois, affirme une étude commandée par la mairie de Paris présentée mardi 23 avril.
Le champion du pneumatique indique jeudi 18 avril avoir obtenu une certification prouvant qu’il verse à ses 132 000 salariés, partout dans le monde, un salaire qui permet de subvenir aux besoins d’une famille de quatre personnes. Il proposera cette année une couverture sociale complémentaire.
Emmanuel Duénias, 55 ans, tient une boutique de prêt-à-porter dans le centre historique de Montpellier, depuis 1996, après avoir travaillé sur les marchés de la région, et après quatre années aux États-Unis. Alors que les grandes enseignes de vêtements ferment les unes après les autres, il aimerait que son métier de proximité soit mieux valorisé et verrait bien sa profession bénéficier d’une baisse des taxes.
Pour la plupart structurels, de nombreux facteurs sont à l’origine de la crise qui touche le segment milieu de gamme du marché de l’habillement. À commencer par la concurrence exacerbée de la mode ultra-rapide.
L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a fait état mercredi 31 janvier d’une inflation en nette baisse au mois de janvier à 3,1 % sur un an, contre 3,7 % en décembre.
Selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE), la chute de plus de 30 % en six mois des prix de gros de l’électricité devrait se traduire par une baisse du tarif réglementé au 1er février. Mais le gouvernement pourrait décider d’une hausse de 10 % pour rapprocher les taxes à leur niveau d’avant-crise.
Le gouvernement a choisi d’augmenter de 5,3 % la pension de retraite de base versée à partir de février. Ce choix d’une revalorisation supérieure à l’inflation est critiqué par plusieurs économistes qui y voient un manque à gagner pour l’investissement ou un geste politique avant les élections européennes de juin 2024.
Avant même d’être déballés, les cadeaux de Noël se retrouvent bradés sur Internet. Ce phénomène, constaté chaque année, prend une ampleur inédite à l’heure de l’inflation, pointe une étude réalisée pour un site marchand. Les jeunes parents sont ceux qui revendent le plus.
Si les dernières estimations de l’inflation se confirment, le smic devrait être revalorisé de 1,7 % au 1er janvier 2024. Une hausse qui concernera plus de 3 millions de salariés payés au smic, dont une majorité de femmes, détaille une étude publiée mercredi 13 décembre par le ministère du travail.
Au garage solidaire Solidarauto de Joué-lès-Tours, l’urgence consiste à accompagner les plus précaires à trouver une solution de mobilité adaptée à une reprise d’activité.
Les constructeurs se sont mis en ordre de bataille pour respecter les règles européennes fixant à 2035 la fin des véhicules thermiques. Mais pour de nombreux automobilistes, les voitures électriques, plus chères, constituent un produit de luxe.
Le gouvernement propose une plus grande transparence sur les plats servis dans les restaurants. Cela devrait rassurer ceux des Français qui valorisent le « fait maison » et qui se sont remis à cuisiner. Très idéalisée, cette pratique est néanmoins en perte de vitesse et davantage subie que source de plaisir.
Dans son rapport annuel, adopté ce mercredi 25 octobre en séance plénière, le conseil économique, social et environnemental dresse un diagnostic des préoccupations de Français. Ils s’inquiètent particulièrement de la hausse des inégalités, de leur baisse de pouvoir d’achat et de l’avenir de la planète.
Pour faire face aux situations financières compliquées en période d’inflation, des entreprises françaises proposent à leurs salariés de toucher leur salaire en temps réel, via l’usage d’applications partenaires. Une pratique qui remet en cause la mensualisation de la rémunération, qui s’est imposée dans les années 1970.
La conférence sociale, lundi 16 octobre, a mis en lumière la question du pouvoir d’achat des bas salaires.
Dans sa dernière note de conjoncture publiée jeudi 12 octobre, l’Insee confirme une croissance modeste de 0,9 % pour la France en 2023. L’inflation devrait poursuivre son reflux, les salaires progresser, mais le chômage pourrait repartir légèrement à la hausse. La Croix passe au crible six indicateurs qui comptent.
Le Syndicat national du théâtre privé, représentant plus d’une centaine de théâtres et de producteurs en France, s’est réuni jeudi 31 août à Paris pour lancer sa nouvelle saison. Malgré une fréquentation en hausse, l’année 2024 est à risque pour le secteur.
Avec l’augmentation des tarifs réglementés de l’électricité de 10 % le 1er août, le gouvernement maintient le bouclier tarifaire, mais ne prend plus en charge que 37 % des factures, contre 43 % depuis février. Le bouclier doit prendre fin avant 2025.
Depuis le 1er août, les tickets de caisse ne sont plus systématiquement imprimés. Reportée à deux reprises en 2023 face aux inquiétudes des consommateurs, cette mesure a pour but de réduire l’impact environnemental de ces petits bouts de papier.
Le secteur des services est à son tour gagné par la hausse généralisée du niveau des prix. Un signe que l’inflation serait en train de prendre durablement ses quartiers dans l’économie française, alors que l’Insee doit publier ce vendredi 30 juin l’indice des prix à la consommation du mois en cours.
Les conclusions plutôt positives du rapport 2022 de l’Observatoire de l’inclusion bancaire (OIB), paru lundi 26 juin, détonnent avec le contexte économique d’inflation et de ralentissement économique.
Chaque semaine, La Croix L’Hebdo part à la rencontre des Français afin de prendre leur pouls, saisir leurs aspirations et entendre leurs idées pour améliorer le quotidien. Cette semaine, Valérie Hesperies, salariée de supermarché à Pithiviers (Loiret), répond à nos questions. Les Français par eux-mêmes.
La Commission de régulation de l’énergie vient de publier le prix de référence du gaz pour les particuliers en juillet 2023. Par rapport à la facture de juin, la baisse va de 15 à 19 %, compte tenu de la chute des cours. Mais il n’est pas sûr que cette tendance perdure.
Pointées du doigt après avoir engrangé d’énormes bénéfices, les sociétés concessionnaires donnent des gages à l’exécutif. Après Vinci et APRR-Area, le réseau Sanef vient d’annoncer une réduction de tarif pour ses abonnés en juillet et août.
À l’occasion de la quinzaine du Commerce Équitable qui se déroule du 13 au 28 mai 2023, José Tissier, président du collectif Commerce Équitable France, souligne que la notion de « pouvoir d’achat » surmobilisée dans le débat public empêche d’évoquer les conditions sociales et écologiques de production, et leur coût pour la société.
Les hausses de rémunération annoncées par Emmanuel Macron, le 20 avril, pourraient se contenter d’atténuer l’effet de l’inflation galopante sur les salaires, et éviter que le smic ne rattrape le niveau de salaire des débutants. Les plus anciens verront tout de même leur pouvoir d’achat baisser.
Une proposition de loi pour la mise en place d’une prime alimentaire est débattue à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la niche parlementaire du groupe Europe Écologie-Les Verts (EELV), jeudi 6 avril. Mais le dispositif se confronte à de fortes oppositions.
Le géant français de la restauration collective a annoncé mercredi 5 avril mettre en Bourse ses activités de titres-restaurants. Explications.
Pour répondre à la colère suscitée par la réforme des retraites, l’exécutif souhaite contraindre les grandes entreprises qui réalisent des superprofits à en faire davantage pour le pouvoir d’achat. Il va cibler les opérations de rachats d’actions qui pourraient être assorties d’obligations nouvelles envers les salariés.
Le ministre délégué aux comptes publics, Gabriel Attal, a annoncé mercredi 22 mars une revalorisation de l’indemnité kilométrique de 5,4 %. Cela permettrait à un célibataire gagnant 2 900 € et utilisant sa voiture pour aller travailler d’obtenir jusqu’à 100 €.
Jeremy Hunt a annoncé mercredi 15 mars que les mesures gouvernementales pour le pouvoir d’achat allaient se chiffrer à plus de 107 milliards d’euros. Le ministre des finances britanniques a toutefois assuré que cela n’entraînerait pas une récession technique.
Les négociations entre industriels et enseignes de la distribution doivent s’achever ce mercredi à minuit. L’inflation inédite a attisé les tensions. Dans ce contexte, les Français pourraient continuer à réduire leurs achats alimentaires cette année.
La fédération d’associations Réseau action climat a accusé jeudi 2 février l’ensemble de la grande distribution d’être un « frein à la transition vers une alimentation durable ».
Malgré le relèvement de 15% des tarifs de l’électricité au 1er février, le prix proposé au particulier reste un des moins chers d’Europe. Mais pour l’État, le coût du bouclier tarifaire est très lourd.
Dans un reportage frappant, Arte suit le quotidien de travailleurs français, espagnols, suédois et allemands.
Selon une étude publiée jeudi 5 janvier, les retraités ont vu leur niveau de vie baisser de plus de 7 % entre 2010 et 2019. Ce n’est pas la baisse des pensions qui est en cause, mais la baisse de revenus du capital.
Selon l’Insee, la hausse des prix a ralenti en décembre en France, atteignant 5,9 % sur un an, soit moins qu’au mois de novembre. Les prix de l’énergie, notamment, se sont assagis le mois dernier.
Entre la disparition de la vaisselle jetable dans la restauration rapide ou celle du timbre rouge, les nouveaux dépistages de maladie chez les nouveau-nés ou l’interdiction du broyage des poussins mâles, le passage à la nouvelle année s’accompagne de son lot d’évolutions. Tour d’horizon des différents changements au 1er janvier 2023.
À partir de ce mardi 27 décembre, les ménages qui se chauffent au bois vont pouvoir demander à bénéficier d’une aide exceptionnelle du gouvernement. Elle pourra atteindre au maximum 200 € et sera cumulable avec le chèque énergie déjà versé. Mais elle ne sera accessible que sous condition de ressources.
L’inflation grimpe, les températures baissent et les économies d’énergie sont de plus en plus précieuses. Du sèche-linge aux plaques électriques, plusieurs appareils ont un impact particulièrement désastreux sur les factures d’électricité.
La première ministre Élisabeth Borne a révélé mercredi 7 décembre les contours du chèque carburant de 100 € qui sera versé aux travailleurs touchant moins de 1 300 € par mois. Une aide conditionnée destinée à soulager les ménages les plus touchés par l’inflation.
Avec la baisse du pouvoir d’achat et la prise de conscience des enjeux environnementaux, de plus en plus de familles optent pour des cadeaux de Noël d’occasion. Un choix adapté aux jeunes mais qui peut choquer les plus âgés.
Le ministre des transports Clément Beaune a annoncé mardi 6 décembre un soutien de l’État à Île-de-France Mobilités pour limiter la hausse des prix de l’abonnement mensuel. La capitale française enregistre les tarifs les plus élevés de l’Hexagone, mais reste moins chère que ses homologues européennes.
Selon l’Insee, qui a publié mardi 22 novembre son portrait social de la France en 2022, la moitié des Français les plus aisés est celle qui a le plus profité des mesures sociales et fiscales mises en œuvre sur la période 2020-2021.
Si les salaires ont poursuivi leur hausse au troisième trimestre 2022, la forte inflation a continué à éroder le pouvoir d’achat des salariés, selon des chiffres publiés jeudi 10 novembre par le ministère du travail.
Transports très perturbés, écoles fermées, piquets de grève à l’entrée d’entreprises pour en bloquer l’accès ce mercredi 9 novembre… Les syndicats belges font front commun pour exiger du gouvernement une action sur les prix de l’énergie et l’inflation.
En dépit des difficultés de l’économie, l’année 2022 devrait se finir sur un record pour le recrutement des cadres, a indiqué lundi 7 novembre l’Apec.
L’ONG Living Wage Canada calcule ville par ville ce que représente un salaire permettant à une famille de vivre correctement. Pour certains observateurs, son utilisation par les entreprises est avant tout un outil marketing qui permet de retenir ses employés.
Le déficit public de la France en 2022 devrait être légèrement moins élevé que prévu, à 4,9 % contre 5 % pour la précédente estimation et ce malgré de nouvelles dépenses destinées à soutenir le pouvoir d’achat, selon un deuxième budget rectificatif dont les grandes lignes ont été présentées mardi par Bercy.
Une chaîne de restaurants vient de lancer la première offre d’abonnement mensuel pour ce type de commerce, permettant de manger un plat par jour. De plus en plus d’entreprises, et dans des secteurs très divers, parient sur ce modèle économique qui peut avoir des conséquences importantes sur le budget des ménages.
Au marché de Melun, commerçants et clients disent leur angoisse face à l’inflation et à l’incertitude économique. Dans cette ville où le mouvement des gilets jaunes de 2018 a été puissant, on ne sent pourtant pas monter la colère qui provoquerait l’éruption sociale.
Les salariés sont appelés mardi 18 octobre à faire grève et manifester pour les salaires. Certains syndicats appellent au retour de l’indexation sur les prix. Les entreprises redoutent les conséquences de la hausse du prix de l’énergie et l’État se borne à une position d’arbitre.
Alors que le gouvernement a la tentation de faire du titre-restaurant un instrument de lutte contre la baisse de pouvoir d’achat et la précarité alimentaire, Youssef Achour du groupe coopératif Up qui édite un titre-restaurant, rappelle les fondements de cet « acquis social ».
Si la hausse des prix pour les consommateurs a globalement reculé de 0,3 point sur un an en septembre, les prix alimentaires continuent de flamber. Selon des spécialistes, ils pourraient encore augmenter de 3 à 4 % dans les mois à venir.
L’inflation a légèrement diminué au mois de septembre sur douze mois, selon les données publiées vendredi 30 septembre par l’Insee.
La prime exceptionnelle de rentrée, destinée à soutenir le pouvoir d’achat des foyers modestes, va être versée à partir de ce jeudi 15 septembre. D’un montant de 100 €, plus 50 € par enfant à charge, elle devrait bénéficier à 11 millions de foyers.
Grâce au bouclier tarifaire, la France affiche le taux d’inflation le plus bas de la zone euro. Un calcul politique et économique plutôt pertinent à l’époque de sa mise en place, mais qui pourrait finir par coûter cher.
L’alimentation devrait être dans les prochains mois le principal moteur d’une inflation qui pourrait s’élever à 5,3 % pour l’ensemble de l’année 2022, selon l’Insee. Le pouvoir d’achat des Français resterait stable par rapport à 2021, du fait de la hausse des revenus.
En hausse constante depuis la reprise post-Covid, les prix de l’énergie ont poussé les gouvernements mondiaux à augmenter les aides en faveur des énergies fossiles en 2021, pointe un rapport conjoint de l’OCDE et de l’Agence internationale de l’énergie.
Dans une récente étude, l’Insee estime que le bouclier tarifaire mis en place en France a permis de diviser par deux l’effet de la flambée des prix de l’énergie sur l’inflation. Sans les mesures gouvernementales, celle-ci aurait atteint 8,4 % au deuxième trimestre 2022.
Plusieurs remises, aides et revalorisations entrent en vigueur au mois de septembre, en application du paquet législatif sur le pouvoir d’achat voté par le Parlement cet été.
Dockers, éboueurs, postiers, chauffeurs, avocats : les piquets de grève se multiplient outre-Manche pour réclamer une revalorisation des salaires à hauteur de l’inflation record. De nouvelles mobilisations sont annoncées pour septembre, alors que les prix de l’énergie vont augmenter de 80 % d’ici à quelques semaines.
Après avoir atteint des records ces derniers mois, les cours du blé sont revenus aux niveaux précédant l’invasion russe en Ukraine. Cela ne règle pas pour autant la question de l’insécurité alimentaire pour les pays les plus dépendants.
Les principales enseignes multiplient les annonces-chocs sur leur manière de combattre l’inflation au profit des consommateurs. La grande distribution a su redorer une image écornée et acquérir une dimension politique depuis la crise du Covid.
L’ancienne ministre du logement a été officiellement désignée à la tête de la Commission de régulation de l’énergie, une autorité indépendante chargée notamment du bon fonctionnement des marchés français de l’énergie, mardi 16 août. Une nomination qui cristallise les critiques de l’opposition.
Déjà versée début août à Mayotte et à La Réunion, l’allocation sera distribuée mardi 16 août dans la métropole, aux Antilles et en Guyane.
Fin juillet, un amendement à la loi pouvoir d’achat a prévu d’autoriser l’utilisation de l’huile de friture usagée comme carburant. Dans les faits, c’était déjà le cas, car elle sert depuis longtemps à la production de biodiesel. Le prix de rachat aux restaurateurs a même tendance à monter.
Après la signature d’un accord en commission mixte paritaire, le projet de loi de finances rectificative de 2022 (PLFR) a été définitivement voté ce jeudi 4 août. Il complète la loi d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat, tout juste adoptée par le Parlement, avec une série de mesures.
Le Parlement a définitivement voté, mercredi 3 août, le projet loi d’« urgence » sur le pouvoir d’achat, premier volet législatif des mesures de soutien économique.
Alors que le taux d’inflation vient de dépasser les 6 %, le projet de loi proposé par le gouvernement pour lutter contre la baisse du pouvoir d’achat des Français devrait être définitivement adopté mercredi 3 août au Parlement.
Le Sénat a adopté en première lecture dans la nuit de mardi à mercredi 3 août le second volet des mesures en soutien au pouvoir d’achat, qui prévoit notamment la poursuite du bouclier tarifaire sur l’énergie et de la remise carburant.
Dans le sillage du livret A, le livret d’épargne populaire (LEP) pour les ménages modestes est passé à 4,6 % au 1er août. Le gouvernement veut lancer une campagne de communication pour promouvoir cet outil de défense du pouvoir d’achat.
Le 1er août marquera l’application d’une série de mesures, majoritairement destinées à faire face à l’inflation. Parmi les changements à venir : une revalorisation du smic, des taux du livret A, le versement de la prime rentrée et des remises à la pompe pour compenser l’augmentation du prix des carburants.
Le Sénat, à majorité de droite, a adopté vendredi soir en première lecture, après l’avoir amendé, le projet de loi d’« urgence » en soutien au pouvoir d’achat. Un premier volet du paquet de mesures pour faire face à l’inflation qui a franchi la barre de 6 %.
Après quatre jours de débats agités, les députés ont adopté dans la nuit de mardi à mercredi 27 juillet le second volet de mesures destinées à soutenir le pouvoir d’achat. Malgré des compromis, notamment sur le carburant, le gouvernement assure que l’enveloppe budgétaire de 20 milliards d’euros sera respectée.
Après quatre jours d’âpres débats, le projet de loi de finances rectificative sur le pouvoir d’achat a été voté par l’Assemblée nationale dans la nuit du mardi 26 au mercredi 27 juillet.
Un compromis a été trouvé samedi 23 juillet entre la majorité et le groupe LR à l’Assemblée sur le soutien aux automobilistes. Le système de chèque carburant a été abandonné au profit d’une remise au litre applicable à tous, sans condition.
Promesse de campagne du candidat Emmanuel Macron, la réforme a été avalisée samedi 23 juillet par l’Assemblée nationale, avant d’être bientôt examinée par le Sénat. Présentée par la ministre de la culture comme « une mesure de pouvoir d’achat », cette suppression est potentiellement lourde de conséquences pour l’audiovisuel public.
Au deuxième jour de l’examen du budget rectificatif, samedi 23 juillet, les députés ont adopté à une large majorité la suppression de la redevance. L’impôt finançait l’audiovisuel public depuis près de 90 ans.
C’est l’une des rares mesures consensuelles du projet de loi sur le pouvoir d’achat qui a été adopté vendredi 22 juillet en première lecture à l’Assemblée nationale. Son but est de rendre plus facile la résiliation des abonnements.
Selon le Conseil d’analyse économique, l’inflation n’a pas encore fait plonger dans le rouge les comptes des ménages. La ristourne généralisée sur le carburant s’avère plus favorable aux ménages les plus aisés.
Après cinq jours de débat, le projet de loi sur le pouvoir d’achat a été adopté vendredi 22 juillet au matin par 341 voix pour, 116 contre et 21 abstentions. Un texte protéiforme censé atténuer les effets de l’inflation et de la crise énergétique.
L’Assemblée nationale a voté samedi 23 juillet la suppression de la redevance audiovisuelle. Pour Julia Cagé, économiste spécialiste des médias, elle pourrait être remplacée par une contribution universelle et progressive.
Adopté le 22 juillet par l’Assemblée nationale, le projet de loi destiné à protéger le niveau de vie des Français va maintenant être transmis au Sénat.
Longtemps refusée par la majorité macroniste, l’Assemblée nationale a finalement adopté à la quasi-unanimité, dans la nuit du 21 au 22 juillet, l’indépendance financière des personnes handicapées vis-à-vis de leur conjoint.
Les députés Les Républicains ont voté l’ensemble des premiers articles du projet de loi sur le pouvoir d’achat malgré le rejet de leurs principaux amendements.
L’encours du livret A continue de progresser malgré un taux qui ne permet pas de compenser les pertes liées à l’inflation.
Les premiers échanges en séance publique lundi 18 juillet sur le projet de loi pour le pouvoir d’achat ont confirmé une convergence d’idées entre le centre et la droite, même si la majorité n’a accepté aucun compromis avec les amendements des oppositions.
Les députés examinent ce lundi 18 juillet le projet de loi pouvoir d’achat et le projet de loi de finances rectificative, présentés par le gouvernement d’Élisabeth Borne. Ce texte comprenant 20 articles a vocation à soulager les finances des Français face à la forte inflation des derniers mois.
Alors que le projet de loi sur le pouvoir d’achat commence à être débattu lundi 18 juillet à l’Assemblée nationale, la question du ciblage des aides vers les populations les plus fragiles commence à créer des remous.
Emmanuel Macron a écarté jeudi 14 juillet la création d’une taxe sur les surprofits de certaines entreprises pour financer les mesures de soutien au pouvoir d’achat. Une idée défendue par la Nupes et le RN.
À partir de ce vendredi 15 juillet, il ne sera plus possible de mettre en location un logement à des prix excédant des plafonds définis par un observatoire local. La mairie de Bordeaux espère une baisse rapide des loyers, en particulier des petites surfaces très recherchées par les jeunes et les étudiants.
Face à la hausse des prix, le Cercle des économistes a proposé dimanche 10 juillet, dans le cadre des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, un chèque unique aux ménages modestes, durant un an.
Le projet de loi sur le pouvoir d’achat est présenté vendredi 8 juillet à l’Assemblée. Parmi les mesures proposées, une indemnité doit permettre aux foyers les plus modestes ayant recours à la voiture pour se rendre au travail de gagner entre 100 et 300 € par véhicule et par actif.
Le projet de loi sur le pouvoir d’achat a été présenté en conseil des ministres. Les critiques montent déjà sur le coût de ces mesures, évaluées à 20 milliards d’euros. Elles risquent de compromettre les objectifs de réduction du déficit.
En amont du projet de loi sur le pouvoir d’achat, les organisations patronales ont fait entendre leurs propositions. Elles insistent notamment sur la nécessité de tempérer les augmentations de salaires et de favoriser les primes.
Le dialogue social se tend dans les entreprises, face à l’inflation et à l’érosion du pouvoir d’achat. Le ministre du travail, Olivier Dussopt, doit réunir ce jeudi 7 juillet les syndicats et le patronat pour encourager les branches à négocier des hausses de salaires.
Le taux d’inflation dans la zone euro a battu un nouveau record en juin, à 8,6 % sur un an, a annoncé Eurostat vendredi 1er juillet. La guerre en Ukraine continue d’attiser la flambée des prix de l’énergie et de l’alimentation.
Selon des chiffres encore provisoires, l’inflation aurait atteint 5,8 % en juin, soit une hausse de 0,7 % par rapport au mois précédent. De quoi compliquer encore la tâche du gouvernement qui doit présenter la semaine prochaine son paquet sur le pouvoir d’achat.
L’Insee doit publier ce jeudi 30 juin la première estimation de l’inflation au cours du mois écoulé.
Ménages, commerçants, municipalité : tous les Chartrains ressentent la hausse des prix, perceptible depuis plusieurs mois. Si la préfecture d’Eure-et-Loir bénéficie d’un contexte économique favorable, tout le monde redoute une rentrée difficile.
Un chèque alimentaire de 100 € par foyer et de 50 € supplémentaires par enfant va être distribué aux 9 millions de foyers les plus modestes, a confirmé mercredi 29 juin la porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire.
Totalement absente des débats pendant la campagne présidentielle, la question de l’état des finances publiques revient sur le devant de la scène, alors même que le gouvernement s’apprête à présenter son coûteux paquet pouvoir d’achat.
Le gouvernement présentera le 6 juillet en conseil des ministres son projet de loi sur le pouvoir d’achat. Portées par une configuration parlementaire inédite, les oppositions affinent leurs stratégies avant ce premier texte d’envergure du second mandat d’Emmanuel Macron.
Promesse du candidat Emmanuel Macron, le projet de loi Pouvoir d’achat devrait être présenté le 6 juillet en conseil des ministres et débattu à partir du 18 juillet à l’Assemblée. Revalorisation des prestations sociales, du salaire des fonctionnaires, chèque inflation… Voici ce que l’on sait de ce texte très attendu.
Avec la hausse des prix et du coût du crédit, les ménages sont contraints d’acheter des surfaces plus petites. Cette baisse est marquée dans les villes moyennes, qui ont vu arriver avec les confinements de nouveaux résidents avec un pouvoir d’achat plus élevé.
Dimanche, la 7e circonscription de l’Hérault est tombée dans l’escarcelle du Rassemblement national. Plus de pouvoir d’achat, moins d’insécurité et de charges : des électeurs nous racontent ce qu’ils attendent des 88 députés RN nouvellement élus.
Un collectif d’associations mené par le Secours catholique revient sur la proposition de création d’un chèque alimentaire destiné aux consommateurs les plus démunis, pour qu’ils puissent acheter des produits de qualité. Il détaille à quelles conditions l’initiative pourrait être utile et promeut des « réponses plus structurelles ».
La présidente de la FNSEA Christiane Lambert a préconisé mardi 7 juin la mise en place de chèques alimentaires en France, sur le modèle des food stamps américains. Ce programme bénéficie à 41,5 millions de personnes outre-Atlantique, mais on lui reproche de favoriser les bas salaires.
La première ministre Élisabeth Borne a annoncé le versement à la rentrée d’une aide destinée aux ménages modestes. Une réflexion sera ensuite engagée pour faciliter l’achat de produits alimentaires de qualité.
Alors que la hausse des prix suscite une inquiétude grandissante, la première ministre, Élisabeth Borne a annoncé mardi 7 juin qu’une aide serait versée « à la rentrée » pour les ménages plus modestes.
Face à l’inflation, les DRH, réunis jeudi 2 et vendredi juin en université d’été à Nancy (Meurthe-et-Moselle), sont confrontés à des revendications salariales inédites et sont interrogés sur un meilleur partage de la valeur créée par l’entreprise.
Alors que l’Insee vient d’annoncer une inflation à 5,2 %, son plus haut niveau depuis trente-sept ans, la pression monte sur le nouveau gouvernement, qui a fait de la protection du pouvoir d’achat sa priorité.
Alors que Londres vient d’annoncer une taxe exceptionnelle de 25 % sur les bénéfices des entreprises pétrolières et gazières pour financer un paquet de mesures de soutien au pouvoir d’achat, la France continue de s’y opposer.
La porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire, a annoncé qu’une loi liée au pouvoir d’achat des Français sera présentée en conseil des ministres avant la mi-juin.
Selon une étude publiée mardi 24 mai par Allianz Trade, les Français pourraient voir le prix de leur panier augmenter de 224 € cette année, en raison notamment de la guerre en Ukraine. Cette hausse est toutefois moins forte que chez nos voisins européens.
La porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire, a annoncé lundi 23 mai qu’une loi visant à améliorer le pouvoir d’achat des Français sera présentée en conseil des ministres avant la mi-juin. Le texte concernerait notamment les prix de l’énergie et de l’alimentation.
À compter du 28 mai, les vendeurs ne pourront plus gonfler leurs prix à l’approche des périodes de promotions pour amplifier l’effet remise.
Quelques heures après l’annonce de la composition de son gouvernement, la nouvelle première ministre était l’invitée du journal de 20 heures de TF1 ce vendredi 20 mai. Élisabeth Borne a défendu un collectif « paritaire » et « équilibré » et a annoncé que le premier projet de loi portera sur le pouvoir d’achat.
Consommateur averti. Plusieurs enseignes de grande distribution vendent une carte d’abonnement qui garantit une remise fixe. L’affaire peut être rentable, à condition d’être fidèle.
Plusieurs associations de défense des locataires demandent au gouvernement le gel des loyers afin de contenir la hausse des prix. Une mesure envisagée par Bercy alors que l’indice de référence des loyers a augmenté de 2,48 % depuis un an.
Alors que l’inflation s’installe, les salaires des Français ne suivent pas. Les chiffres du mois d’avril montrent une augmentation des prix qui se poursuit, notamment dans les transports et l’alimentation.
Sans surprise, les prix des produits de grande consommation vendus dans la grande distribution repartent à la hausse, à 1,3 % par rapport au mois de mars.
Alors que la hausse des prix touche désormais les produits alimentaires, le gouvernement planche sur une loi de finances rectificative prenant en compte les promesses d’Emmanuel Macron pour soutenir le pouvoir d’achat des Français. Le texte devrait entériner la poursuite de dispositifs tels que l’aide à l’achat de carburant et introduire un chèque alimentaire destiné aux ménages modestes.
Alors que l’inflation galope et que le smic vient d’être revalorisé au 1er mai, les syndicats appellent le gouvernement à faire pression sur les entreprises pour relever les salaires. La CFDT propose de conditionner certaines aides à la négociation salariale.
Avec une inflation à 4,8 % au mois d’avril, le pouvoir d’achat reste ancré tout en haut de la liste des préoccupations des Français. Paiement fractionné, achats groupés, seconde main… Tour d’horizon des parades des consommateurs.
Les 19 millions d’euros attribués au patron du groupe automobile Stellantis (PSA-Fiat Chrysler) Carlos Tavares pour 2021 ont choqué. Pour Pascal Demurger, le directeur général de la Maif, tant que la rentabilité boursière conditionnera les rémunérations patronales, on ne parviendra pas à minorer ce genre d’excès.
On la croyait disparue, mais l’inflation fait son grand retour dans nos économies. Selon les dernières statistiques publiées vendredi 29 avril, elle a atteint 4,5 % en avril en France et 7,5 % en zone euro. La croissance économique a été nulle en France au premier trimestre, et elle a ralenti de 0,2 % dans la zone euro. De quoi relancer les scénarios découlant de la spirale inflationniste, de la stagflation à la récession.
À la veille du 1er-Mai, Laurent Escure, secrétaire général de l’Unsa, fait le point sur le climat social, et les attentes des salariés pour ce nouveau quinquennat. Les craintes d’un « troisième tour social », avec la résurgence d’un mouvement comme celui des gilets jaunes, ne sont pas à écarter.
Le président de la République veut faire adopter une loi exceptionnelle pour le pouvoir d’achat dès cet été. Il n’est pas sûr que cela suffise à calmer la grogne, et l’opposition reste forte sur l’autre dossier chaud de la réforme des retraites. Les défis du quinquennat, la fracture sociale (4/4).
Fin 2020, la France comptait 16,9 millions de retraités, qui recevaient une pension moyenne de 1 341 € net par mois, d’après une étude publiée ce jeudi 28 avril par le service statistique des ministères sociaux.
Pour La Croix L’Hebdo, quatre « foyers » ont accepté d’ouvrir leurs comptes. D’après les données officielles, le pouvoir d’achat des Français n’a cessé d’augmenter au cours du quinquennat. Ce qui est vrai, en moyenne. Mais un indice reflète-t-il réellement la vie ?
Tout au long de la campagne électorale, Marine Le Pen a annoncé quelles seraient ses premières décisions de présidente de la République française.
Les Français pensent que leur pouvoir d’achat recule, et ce fut un des sujets majeurs du débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen avant le second tour de la présidentielle. Selon Patrick Artus, économiste, il augmenterait plutôt, malgré ce sentiment d’inégalité. Une des manières de résoudre ce dernier serait de s’attaquer aux inégalités de patrimoine, qui sont, elles, bien documentées.
Baisse de la TVA, renationalisation des autoroutes, suppression de l’impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans pour l’une. Chèque alimentaire pour les plus précaires, « prime Macron » prolongée et triplée, augmentation des salaires pour les fonctionnaires et les enseignants pour l’autre... Les programmes des deux candidats diffèrent pour relancer le pouvoir d’achat.
L’Insee a publié vendredi 15 avril les chiffres de l’inflation en mars en France. Sur les douze derniers mois, elle atteint 4,5 %. Elle est de 4,8 % pour ce qui concerne les 20 % des ménages les plus modestes, ce qui va conduire à une revalorisation automatique du smic de 2,65 % à partir de mai.
Compte tenu de la hausse des prix de l’électricité, les énergies renouvelables sont devenues extrêmement rentables. Au point de reverser beaucoup d’argent à l’État.
À peine les négociations commerciales entre distributeurs et fournisseurs se sont-elles achevées le 1er mars, que le gouvernement a appelé à de nouvelles discussions. Certains spécialistes tablent sur une augmentation des prix de 7 à 8 % cette année, alors que les produits alimentaires ont connu une déflation quasi ininterrompue depuis 2013.
La flambée des prix de l’énergie a replacé la question du pouvoir d’achat au centre des débats politiques. Mais dans un contexte économique très incertain, aucun candidat n’a la garantie d’attirer massivement les électeurs sur cet enjeu.
Selon les chiffres publiés jeudi 31 mars par l’Insee, la hausse des prix à la consommation sur un an bondit à 4,5 % en mars. Pour compenser cette hausse, le smic augmentera de 2,4 à 2,6 % le 1er mai.
La réouverture probable des négociations entre l’industrie agroalimentaire et les grandes surfaces va inévitablement déboucher sur des hausses de prix pour le consommateur. Un sujet sensible en pleine campagne électorale marquée par le pouvoir d’achat.
Selon une étude de l’OFCE, le pouvoir d’achat a progressé de 1 470 € par an à la fin du quinquennat. Mais les inégalités subsistent.
Les tarifs réglementés du gaz et de l’électricité ont été encadrés. Sans cette mesure, l’inflation enregistrée en France aurait atteint 5 % en février, estime l’Insee.
Face à l’augmentation des prix à la pompe, le gouvernement a promis un dispositif d’aide pour les « gros rouleurs », qui sera mis en place le 31 juillet, date de la fin de l’aide de 15 centimes au litre, mesure qui, elle, entre en vigueur au 1er avril.
La station Hyper U de Mende est devenue le rendez-vous du moment des automobilistes lozériens. Si les prix y sont moins élevés que dans le reste du département, les usagers craignent tout de même de ne plus pouvoir répondre à leurs besoins de déplacements élémentaires et déplorent le manque d’alternatives.
Pour amortir la hausse du prix de l’énergie qui s’annonce, le ministère de l’économie travaille sur une série de mesures dont le coût est déjà évalué à plus de 20 milliards d’euros en 2022.
L’association Négawatt, qui prône la sobriété énergétique, évalue l’impact d’une baisse de 5 à 10 km/h de la vitesse de circulation sur la consommation de carburant.
Les négociations commerciales entre la grande distribution et les industriels de l’agroalimentaire se sont closes le 1er mars à minuit. L’augmentation moyenne des prix devrait tourner autour de 3 à 4 %. Et la crise ukrainienne pourrait conduire à de nouvelles hausses.
Contrairement à ce que ressentent les Français, leur pouvoir d’achat ne cesse de progresser depuis dix ans. En 2021, il a encore augmenté de 1,9 %, selon les chiffres publiés vendredi 25 février par l’Insee. Et si l’explication était à chercher du côté de nos logements…
Le PDG de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, a annoncé, mercredi 9 février, le versement d’un bon d’achat de 100 € pour les abonnés au gaz en « situation de précarité énergétique ». Une remise de 5 € pour 50 litres d’essence sera également appliquée dans les stations-service situées en zone rurale.
Alors que le nombre de chômeurs en catégorie A inscrits à Pôle Emploi a diminué de près de 500 000 en 2021, la courbe du chômage n’est plus un élément décisif à l’approche de la présidentielle. C’est le pouvoir d’achat qui est la question prioritaire de la campagne, même si elle a été jusqu’à présent étouffée par la crise sanitaire.
Face à la flambée des prix des carburants, le gouvernement a souhaité revaloriser de 10 % le barème de l’indemnité kilométrique. Au total, 2,5 millions de personnes devraient en bénéficier. Il s’agit des Français imposables qui dans leur déclaration de revenus déduisent les frais réels.
Depuis la fin de l’année dernière, de plus en plus d’automobilistes s’équipent d’un boîtier qui permet de rouler à l’E-85, dont le litre est vendu 0,75 € à la pompe.
Pour amortir la hausse des carburants pour les Français, Jean Castex a annoncé à l’Assemblée nationale mardi 25 janvier la hausse de 10 % du barème kilométrique. « L’effet sera rapide et direct », a précisé le premier ministre.
Les prix du litre de l’essence sans plomb et du litre de gazole sont à des niveaux records et pèsent de plus en plus dans le budget des ménages. Le gouvernement cherche la parade.
L’association Familles rurales publie son 15e Observatoire des prix, qui calcule le coût d’un panier de produits alimentaires à partir de relevés dans des magasins. L’augmentation a été surtout importante pour les fruits et légumes. Et de nouvelles hausses menacent le panier des consommateurs.
Le débat sur le pouvoir d’achat et la nécessité d’augmenter les salaires revient en force à l’approche de la présidentielle. Alors que l’inflation atteint des niveaux inédits depuis une décennie en Europe, une étude de l’assureur-crédit Euler Hermes met en garde contre le risque de voir survenir « une boucle entre les salaires et l’inflation », notamment en France ou en Grande-Bretagne, qui pénaliserait la reprise économique.
L’indice des prix à la consommation a augmenté de 2,8 % sur un an au mois de décembre, soit le même taux qu’en novembre, selon une première estimation de l’Insee.
Revalorisation automatique du smic, nouveau barème de l’impôt sur le revenu, permis de construire en ligne, contraception gratuite pour les moins de 25 ans, eau gratuite au restaurant, fin des plastiques à usage unique… La Croix fait le point sur les principaux changements au 1er janvier 2022.
Selon l’Insee, la flambée du pétrole et surtout du gaz coûte aux ménages 30 € par mois en moyenne. Mais certains, notamment en zone rurale, sont beaucoup plus touchés.
Le pouvoir d’achat est un concept économique qui désigne la capacité d’un individu ou d’un ménage à acheter des biens ou à pouvoir accéder à des services en fonction d’un revenu. Très souvent, il est mesuré en tenant compte de l’inflation qui désigne une variation des prix au cours du temps. C’est un moyen de comprendre si les ménages s’enrichissent ou s’appauvrissent. Le pouvoir d’achat a toujours été influencé au cours des siècles par l’économie d’un pays, celle-ci dépendant d’ailleurs d’éléments extérieurs comme les guerres, les échanges commerciaux qui la rendent plus ou moins stable. Dans les sociétés agricoles du Moyen-Age, la richesse était très souvent mesurée en terres et en récoltes. Des changements climatiques provoquaient par exemple de faibles récoltes et donc une hausse des prix. Avec le développement du commerce international, entre différentes villes commerçantes, fait que le pouvoir d’achat n’est plus uniquement fondé sur les recettes agricoles. Les guerres qui ont rythmé la vie du royaume de France et du contient européen à cette période ont aussi été des sources d’inflation et donc de baisse du pouvoir d’achat. La différence de niveau de vie entre la noblesse et le clergé et le reste du peuple désigné par l’appellation Tiers-État , explique en partie la fracture sociale du 18ème siècle qui a conduit à la Révolution Française de 1789.
Avec la Révolution industrielle qui fait ses premiers pas en France au début du 19ème siècle, le pouvoir d’achat a radicalement changé. La production de masse a favorisé l’accès à de nombreux biens et services. Des droits et acquis sociaux ont également par la suite favorisé l’enrichissement progressif de ces individus. Après les deux guerres mondiales du 20ème siècle, de nombreux pays occidentaux connaissent une période de prospérité appelée les Trente Glorieuses : trente années d’essor économique des années 1950 aux années 1980. Cela entre en concomitance avec le développement de l’Etat providence qui met l’accent sur la redistribution des richesses. La croissance économique bat son plein avec la naissance de nouveaux modèles de consommation comme la grande distribution et les hyper et supermarchés qui voient le jour dès les années 1960 avec Carrefour, Casino, ou encore Auchan. D’autres marques, comme Lidl ou Aldi, misent sur des catégories plus populaire avec des prix bas. On parle alors de magasins hard discount.
Les chocs pétrolier de 1970 puis de 1973 impactent le pouvoir d’achat, qui va baisser en raison de la diminution des salaires et de la hausse des prix. Dans les dernières décennies, le pouvoir d’achat est un enjeu politique central et un élément vital pour la bonne santé d’un pays et de sa population. Les inégalités économiques liées à la crise économique de 2008, ou bien à l’augmentation des prix de certains secteurs sont souvent à l’origine de contestations comme la crise des gilets jaunes, en 2018 où l’Etat a dû répondre aux préoccupations budgétaires de ses habitants.
La crise sanitaire du Covid-19 de 2020 ou la guerre en Ukraine qui commence en 2022 mettent à mal le pouvoir d’achat des consommateurs avec la flambée des prix alimentaires, comme celui du blé, ou de l’énergie, tel que le pétrole ou le gaz. En septembre 2024, le pouvoir d’achat est favorisé par une baisse de l’inflation qui ralentit à 1,2% sur un an, notamment lié à la diminution des prix au niveau des secteurs de l’énergie et des services de santé.
