Jean Teulé : Héloïse et Abélard, "c'était de la baise infinie"

Depuis quelques années, Jean Teulé revisite l'Histoire. Avec "Héloïse, ouille !", il raconte la formidable et tragique histoire d'amour d'Héloïse et Abélard. De quelques phrases issues de leur correspondance, Jean Teulé imagine les dix-huit mois qu'ils ont passés ensemble, dans toutes les positions.

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Jean Teulé : Héloïse et Abélard, "c'était de la baise infinie"

Depuis quelques années, Jean Teulé revisite l'Histoire, depuis "Le Montespan" jusqu'à "Charly 9", en passant par "Fleur de Tonnerre", une tueuse en série du XIXe siècle. Avec "Héloïse, ouille !", il raconte la formidable et tragique histoire d'amour d'Héloïse et Abélard. De quelques phrases issues de leur correspondance, Jean Teulé imagine les dix-huit mois qu'ils ont passés ensemble, dans toutes les positions. C'est chaud, ébouriffant et très drôle, "Cinquante nuances" peut aller se rhabiller. En 1113, Abélard devient le professeur particulier d'Héloïse, déjà très instruite et pas seulement en grammaire latine. Leur immense amour s'exprime par les mots mais aussi par les corps, Abélard "polissonne la bagasse, bélute la donzelle" et il n'y a pas un jour sans qu'ils n'heurtebillent joyeusement. Le vocabulaire fleuri de Jean Teulé sied à merveille à cette histoire qui finit mal. Découverts par l'oncle d'Héloïse, les amants sont séparés, elle devient abbesse, il est châtré.

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