Point de vue

RATP et chrétiens d'Orient : le parti pris de la bêtise

L'affaire aurait pu ne pas exister. Les affiches seraient restées en place deux ou trois semaines, les amateurs de chants séraphiques les auraient peut-être remarquées, on aurait récolté quelques milliers d'euros pour construire des écoles dans des camps lointains. Et voilà tout. Mais la bêtise au front de taureau est passée par là, emportant tout sur son passage.
Jérôme Anciberro, rédacteur en chef
Publié le 01/04/2015 à 18h06, mis à jour le 02/04/2015 à 09h18 • Lecture 3 min.
© Frederic Soltan/Corbis

© Frederic Soltan/Corbis • FREDERIC SOLTAN/CORBIS

> A lire aussi : La RATP préfère-t-elle Gleeden aux chrétiens d'Orient ?


Il a d'abord fallu que quelqu'un, au fond d'un bureau ou dans une commission d'experts, décidât de faire supprimer cette fameuse mention des chrétiens d'Orient sur ces affiches de concert, ce qui n'a pas manqué de susciter des protestations, dont celle de Mgr Di Falco, l'inventeur des Prêtres, cet improbable trio chantant, relayées sur les rése

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