Pour Jean-Vincent Placé, EELV est en état de "mort clinique"
Dimanche sur BFM TV, le sénateur EELV Jean-Vincent Placé a admis que son parti divisé donnait "une mauvaise image de la politique", ajoutant qu'il est en état de "mort clinique".

Le chef de file des écologistes au Sénat n'a pas mâché ses mots à l'égard de son parti. Dimanche sur BFM V, Jean-Vincent Placé a déploré que son parti, marqué par "une extrême division" , notamment sur un retour au gouvernement, donnait "une mauvaise image de la politique".
Pour lui, "le parti écologique, tel qu'il est aujourd'hui, est en fin de vie, il est en mort clinique", malgré "une idée magnifique" et "des gens qui soutiennent intéressants". Mais "avec un système de fonctionnement obsolète, ça ne peut pas marcher".
Le sénateur de l'Essonne s'est redit disposé à entrer au gouvernement . "Ce que nous pourrions apporter, c'est d'avoir une constance et une persévérance sur les sujets de transition énergétique"."Nous serions plus vigilants et plus directifs" si les écologistes siégeaient au Conseil des ministres, a-t-il dit. "Pour marquer des buts, il vaut mieux être sur le terrain".
"Je ne dis pas que je suis prêt et que j'ai envie, je veux être utile"
Il a notamment donné l'exemple de la circulation alternée décidée il y a deux semaines à Paris, après plusieurs jours de bras de fer entre gouvernement et mairie de Paris. "S'il y avait eu des écologistes au gouvernement, on aurait fait la circulation alternée trois jours plus tôt", a-t-il affirmé.
"Il y a un espèce d'état d'esprit où il faudrait caricaturer ceux qui affichent une ambition, qui est saine et franche", a-t-il aussi regretté. "Je ne dis pas que je suis prêt et que j'ai envie, je veux être utile", a enchaîné le sénateur.
A quelques mois de la conférence climat à Paris , "les écologistes cette année doivent être plus utiles encore", a-t-il insisté. "On ne sait pas trop bien pourquoi on est sorti du gouvernement" il y a un an, a aussi regretté Jean-Vincent Placé, pointant un manque d'explication d'EELV sur le refus de participer à l'équipe de Manuel Valls.
Source: leJDD.fr

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