Coexister, l’interreligieux à plus grande échelle

Article réservé à nos abonnés.
L’association Coexister, qui réunit des jeunes croyants et non-croyants pour des actions communes, est passée de 11 à 28 groupes locaux en un an. Nommé « grand projet présidentiel » en mars, le mouvement veut profiter de son exposition médiatique et des nouveaux moyens financiers pour continuer à grandir.

Dans le réfectoire de l’abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes d’Armor), Ilan et Benjamin récitent la prière d’entrée en shabbat. Autour d’eux, une centaine d’autres jeunes écoutent, attentifs. Pourtant, peu portent la kippa. La plupart ont la tête découverte, certaines filles sont voilées et on distingue même une casquette… Le lien qui les réunit est à chercher ailleurs, sur les tee-shirts violets que beaucoup ont revêtus et où est écrit un même mot : « Coexister », du nom de l’association dont ils font partie.

Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Déjà abonné ?