Santé

Les dérives sectaires en santé et les pratiques de soins non conventionnelles, y compris dans des établissements de santé, sont une source de "préoccupation", met en garde la Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires dans son nouveau rapport.

Quarante mille doses sont arrivées sur l'île, en priorité à destination des personnes de 65 ans et plus présentant des comorbidités.

Le neurologue Stephen Hauser et l’épidémiologiste Alberto Ascherio ont reçu le prestigieux Breakthrough Prize pour leurs découvertes majeures sur la sclérose en plaques : l’un a révélé le rôle des lymphocytes B dans l’attaque du cerveau, l’autre a démontré l’implication du virus d’Epstein-Barr.

En République démocratique du Congo, où la variole du singe est endémique, une mission franco-congolaise tente d'identifier sur le terrain l'animal, probablement un rongeur, jouant le rôle de "réservoir" du virus. Elle suit également l'évolution de la maladie dans les zones les plus reculées. Reportage au cœur de la forêt.

Pour rester à 37°C, notre corps thermorégule par l'évaporation de la transpiration. Un système qui perd en efficacité à mesure que la température et l'humidité de l'air augmentent. Au-delà de 26 à 31°C à "thermomètre mouillé" (l'air saturé en humidité), notre température interne commence déjà à augmenter, et non 35°C comme précédemment établi.

Les appareils qui prétendent mesurer la glycémie sans piqûre, comme certaines montres connectées, sont trompeurs et peuvent menacer la santé des diabétiques en leur donnant des mesures erronées, ont prévenu le 31 mars 2025 les autorités françaises.

Les agences régionales de santé ont de plus en plus de mal à gérer les situations de non-conformité de l’eau destinée à la consommation humaine présentant des traces de pesticides. Interrogée, la Haut Conseil de la santé publique refuse de multiplier les dérogations aux normes sanitaires existantes.

Mâcher un chewing-gum libèrerait des microplastiques dans la salive peu importe la composition du chewing-gum, qu'elle soit naturelle ou non.

Dans une expertise publiée le 24 mars, l’Anses recommande de ne pas proposer d’aliments à base de soja en restauration collective afin de limiter les risques liés à la surconsommation d’isoflavones. Ces composés, présents naturellement dans le soja, peuvent avoir des effets néfastes sur la santé, notamment sur le système reproducteur, en cas de consommation excessive.

Dans la seule zone de l'Union européenne et l'Espace économique européen, près de 37.000 personnes ont été diagnostiquées, soit 2.000 de plus que l'année précédente.