Dimanche 5 juillet, les Grecs voteront pour ou contre le plan de réforme proposé par les créanciers du pays. La veille le ministre des Finances grecs Yanis Varoufakis a accusé ces créanciers, dans un interview au quotidien espagnol El Mundo, de s’être comportés en “terroristes”: “Si le ‘oui’ l’emporte (…) l’Europe deviendra un espace dictatorial”. Ce référendum inspire largement les dessinateurs de presse, qu’ils représentent souvent comme un choix entre deux maux.