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C'était inespéré pour François Hollande : être porté, pour sa traditionnelle interview télévisée du 14 juillet, par une actualité heureuse. La veille, il participe activement à la négociation qui aboutit au maintien de la Grèce dans la zone euro. Le jour même, il peut se réjouir de l'accord historique qui vient d'être conclu à Vienne sur le nucléaire iranien. Résultat : il pose en deus ex machina de la politique internationale, en premier violon dans l'orchestre des nations. D'ailleurs, c'est bien simple, il souhaite aux Français de connaître, à l'avenir, « des présidents aussi audacieux » que lui.
Un ego en pleine expansion
L'emploi à outrance de la première personne du singulier pendant 45 minutes est la marque d'un ego en pleine expansion. Rapide florilège : « Ma vi...
Je suis plutôt d'accord avec cette analyse.
Ces deux adversaires ont le même égo, la même façon de communiquer en faisant croire qu'ils ont prise sur les évènements qui leur échappent, la même habitude de placer ses amis aux postes clés (quid de la république exemplaire ?).
Quant aux réformes, c'est beaucoup de com mais peu d'actes réellement efficaces !
Pauvre 2017 !
Bloquer les fonctionnaires en France ! C'est impossible car il faut trouver la fenêtre entre les grèves et les congés diverses (blague) et surtout que quoiqu'on dise la majorité au parlement à toujours le dernier mot ! Aux USA c'est pas le même système...
La dernière fois qu'un politicard a fait passer "l'intérêt général" avant son compte en banque, c'était quand, déja ?