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57 % des Français ont peur de tomber dans la précarité et 90 % d'entre eux n'excluent pas cette éventualité (selon un sondage BVA). Pourtant, tout un panel d'aides et de protections sert d'amortisseurs sociaux qui, de toute évidence, ne suffisent plus à préserver la population de la trappe à pauvreté.
Même les catégories dites supérieures ne sont plus à l'abri. Excepté les 2 % des revenus les plus élevés en France, personne n'est à l'abri d'un accident de parcours dans le secteur privé : une faillite de son entreprise, un licenciement, un divorce, etc. Avec la crise, la disqualification sociale ne suit pas une courbe linéaire ; elle se produit quasiment du jour au lendemain. En fait, les 10 % des revenus les plus élevés dépassent 5 200 euros par mois, ce qui ne constitue pas en...
Dans ce pays censé être juste, ceux qui souffrent le plus des injustices ne sont pas entendus. C'est incroyable mais ils... sont les plus nombreux. Peut-être serait-il temps qu'ils s'organisent et fassent entendre leurs voix ?
"Vite, on coule" (couverture du Point avril 2014)... Quelques superstructures publiques émergent encore mais pèsent lour...dement sur les ponts inférieurs envahis par les eaux glacées où les noyades s'accélèrent. Pensent ils être à l'abri encore longtemps ? Comme LXVI à Versailles ? Non, c'est la panique aussi. D'ailleurs quand Macron pousse ouvertement l'Allemagne de Merkel à transférer à l'Europe plus de souveraineté économique... Ne nous y trompons pas, c'est bien qu'au plus haut niveau on perçoit que la situation est devenue explosive !
Tout le monde sait ce qu'il faudrait faire ! Même le plus ignare des politiques.
Le problème c'est le manque de courag...e des dits politiques. Voilà.