Promesse de campagne du PJD (islamistes modérés), la loi réglementant les activités de la finance islamique au Maroc a mis plus de deux ans à voir le jour, vraisemblablement en raison de craintes de déstabilisation du système conventionnel. Les banques « participatives » ont d’ailleurs été appelées ainsi, et non pas « islamiques », pour ne pas laisser entendre que les autres ne le sont pas…
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