
ECONOMIE - Tout aurait pu être ou se passer comme dans n'importe quelle société informatique, appelée communément SSII mais ce n'est pas le cas.
Nous pénétrons dans la critique de la raison purement non-informatique. L'énigmatique Marie Thérèse Bertini, appelée MTB ou Marie, est une personnalité tout à fait atypique, singulière. Dès sa première approche du monde informatique, il ne peut nous échapper que sa formation est la philosophie (Docteur d'Etat) la grammaire, chercheuse au CNRS, ces atouts vont contrarier l'éternel discours commercial propre à un monde ne cherchant qu'à déverser ses produits sans retenue.
MTB nous explique, à juste titre et avec brio, pourquoi l'informatique a raté son entrée dans le monde de l'art. La peinture, la musique, la sculpture, la littérature, même la gastronomie s'y sont installés de façon pérenne, ils font partie de ce monde très sélect. L'informatique, elle a raté son envol pour ne sembler n'être qu'une langue entre ingénieurs de connivence.
C'est par cette approche multidisciplinaire que MTB sait réécrire cette "fausse croyance", ce "leurre" en y liant l'informatique à la philosophie, à la psychologie, à la littérature et même à la poésie ! La maïeutique ou l'art de faire accoucher les esprits s'invite dans l'explication de cette grammairienne qui réconcilie la vision du profane, du néophyte en la matière avec l'Informatique. Parler de services, reprendre l'éternel discours redondant du commercial qui cherche à placer sa société et ses produits tout fait, très peu pour elle ! Chaque mission est unique, chaque responsabilité est un challenge où aucun outil informatique ne s'improvise.
Si certains aiment le prêt à porter, MTB ne propose que du "sur mesure". Tourner en rond dans une salle, multiplier d'hypothétiques schémas pour inciter, pour inviter des clients à acheter du MTB ne peut arriver.
MTB agit et constate ensuite. MTB épouse un besoin et l'accompagne jusqu'à sa naissance sans péridurale, puis le fait évoluer, lui fait dépasser le stade de la puberté, lui apprend à devenir adulte et à son tour à être autonome.
La demande d'un client est comme la demande d'un enfant au père Noël, elle s'inscrit dès lors dans l'obligation de l'accomplissement qui ne doit être qu'efficacité et ne pourra accepter aucune approximation.
Banques, assurances, sociétés cotées, l'informatique n'est pas le support de l'homme, c'est l'homme qui à son tour devient le support de l'informatique.
C'est toute la différence entre MTB et le reste du monde des SSII.
À l'heure où l'information et ou les données ont pris le pas sur tant de choses, les solutions MTB deviennent un vecteur d'efficacité ne laissant plus de place aux éternels doutes, questionnements et débats sans fin devenant stériles et nécrosés. "Je ne vous vendrais pas un produit, je vous garantirai la solution", cette phrase, cette maxime, ce dixit pourrait être l'adage de ce précurseur en l'art de l'informatique qui, elle seule, choisit ses clients dans un panel de sociétés qui n'ont pas peur de réussir à gagner de l'argent, d'optimiser leur quotidien.
L'informatique n'est plus un petit wagon qui suit dans la montagne, elle devient la locomotive qui, par définition, pilotera ce que vous ne trouvez pas ou même ce que vous ne vous étiez même pas encore autorisé à penser en terme d'efficacité, de rapidité et donc de gains !
Sans nul doute, MTB fera entrer l'informatique sous la coupole tout en faisant évoluer son art par des harmonies, des algorithmes mariés à un sens pratique sans commune mesure le monde économique par une informatique lyrique philosophique, littéraire extrêmement pragmatique face aux besoins immédiats et pressant qu'appelle le quotidien de toutes sociétés aujourd'hui.