Pas féministe, Barbie ? Vous pensez ça parce que vous n’avez pas vu sa dernière pub (repérée par Le Monde). Fini les Barbies princesses, qui passaient leur temps à se maquiller et à se recoiffer en rêvant à leur prince charmant. Désormais “quand une petite fille joue à Barbie, elle imagine tout ce qu’elle peut […]
Pas féministe, Barbie ? Vous pensez ça parce que vous n’avez pas vu sa dernière pub (repérée par Le Monde). Fini les Barbies princesses, qui passaient leur temps à se maquiller et à se recoiffer en rêvant à leur prince charmant. Désormais « quand une petite fille joue à Barbie, elle imagine tout ce qu’elle peut devenir », et, comme le dit le nouveau slogan : « Tu peux être ce que tu veux ».
Comprendre : vétérinaire, entraîneur de foot, paléontologue, professeur à l’université ou encore businesswoman. La société Mattel, qui commercialise Barbie, a décidé de dépoussiérer son marketing en misant sur l’image d’une femme moderne et libre.
Mais cette métamorphose féministe ne convainc pas. Comme le remarque une journaliste du Guardian, ici les petites filles sont conviées à devenir tout… « sauf grosse, bien sûr. (…) Ou n’importe quoi d’autre que cette Barbie atrocement proportionnée et toujours très standard ».