Manipulations, tricheries et trucages… Benjamin Castaldi balance tout sur les télé-réalités

Une pilule abortive pour une candidate
Dans son livre, il revient sur ses années d’animateur et révèle : « Me croirez-vous si je vous dis que certains avaient imaginé de faire avaler une pilule abortive, la fameuse RU499 (sic), à une candidate enceinte, d’ailleurs sélectionnée pour cette raison ? Il a fallu expliquer à cette équipe pleine de ressources que la jeune femme risquait d’expulser son bébé sous la douche, devant les caméras. On marchait sur la tête ».
Le scrutin stoppé
De la triche et de la manipulation que l’on retrouve jusque dans les votes du public pourtant sous le contrôle d’un huissier de justice. « Je n’ai souvenir que d’un exemple de triche manifeste. C’était un soir de vote, sur un prime time en direct du Loft. Les téléspectateurs étaient invités à désigner leur candidat préféré, pour lui permettre de se maintenir dans l’émission. La production, de son côté, avait fait son choix : le candidat élu serait une candidate. Un point, c’est tout. Le scrutin fut stoppé à 21h15, en pleine émission en clôturant le vote au moment favorable ». L’animateur précise tout de même que les programmes aujourd’hui sont beaucoup plus encadrés et qu’une telle tricherie ne serait pas envisageable », dévoile-t-il à propos de la société Endemol.
Son ex-femme rompt par sms
Dans son livre, l’animateur évoque aussi un passage douloureux de sa vie à savoir sa rupture avec Flavie Flament. Tout allait parfaitement bien pour le couple formé des deux présentateurs jusqu’au transfert de Benjamin Castaldi. L’animateur dévoile ainsi : « Je rejoignais Flavie sur la chaîne dont elle était la vedette. Tubes d’un jour, tubes de toujours, Vis ma vie, Stars à domicile, Saga, tous ces programmes à succès, c’était elle ! Je n’ai pas vu, ou pas voulu voir, que ce changement important dans ma carrière allait déstabiliser notre couple ».
« Flavie et moi devenions des rivaux, à distance idéale pour nous épier l’un l’autre. Dans ce métier d’ego, la concurrence sévit jusqu’à l’intérieur des couples. Je l’ai appris à mes dépens », peut-on lire. Après six ans d’idylle, Flavie Flament aurait, selon lui, décidé de mettre un terme à leur relation… par sms. « Mes jambes ne me portent plus, je sais que tu prendras soin de notre fils », lui envoie-t-elle. « Un message froid, plus ou moins clair mais direct » que Benjamin Castaldi a très vite saisi : « Elle n’était plus là ».