Univers

Des simulations numériques indiquent que les molécules d’eau, l’un des ingrédients essentiels à la vie telle que nous la connaissons, auraient été formées en abondance 100 à 200 millions d’années après la naissance de l’Univers et non 1 milliard d’années, comme les scientifiques le pensaient jusqu’à présent.

À trois millions d’années-lumière, cette lilliputienne cosmique interroge sur la survie des galaxies naines dans l’univers.

Pour la première fois, des astronomes ont cartographié en trois dimensions les vents d’une exoplanète, révélant un courant-jet équatorial supersonique et des flux atmosphériques d’une complexité inédite.

Ces astres qui traversent la Voie lactée à des vitesses phénoménales sont encore mal connus. Si cette découverte est confirmée, les astronomes sauront que des planètes peuvent survivre à des conditions extrêmes.

La collaboration internationale DESI (Dark Energy Spectroscopic Instrument) livre une série de résultats portant sur un an de données récoltés auprès de six millions de galaxies. Elle confirme entre autre que l'action de l'énergie noire pourrait avoir évolué au fil du temps.

Les dernières observations de la Nasa autour de Véga, une étoile brillante de la constellation de la Lyre, intriguent par la présence d’un disque de débris étonnamment lisse.

Des planétologues du CNRS et des astronomes de l’université de Montréal (Canada) ont démontré que l’exoplanète LHS1140b, hors du Système solaire, pourrait abriter de l’eau à l’état liquide.

En orbite autour d'une étoile mourante, de cette planète ne devrait rester qu'un noyau mis à nu. Mais les astronomes ont détecté une atmosphère gonflée l'entourant. Un mystère.

L'exoplanète surnommée Percival a été découverte par des astronomes amateurs grâce aux données du satellite TESS. Elle représente un cas rare parmi les corps planétaires détectés jusqu'à présent.

Ce jeudi 23 mai 2024, l’Agence spatiale européenne a dévoilé de nouveaux clichés de l’Univers obtenus grâce aux "yeux" infrarouges du télescope spatial Euclid, en seulement 24 heures d’observation ! Des images à la hauteur des capacités du satellite, dont le programme de cartographie de l’Univers profond est prévu pour durer six ans.