Cerveau et psy

Il n’existe, à l’heure actuelle, aucun traitement pour arrêter l’avancée de la maladie de Charcot. Un syndrome qui aboutit à une paralysie complète et au décès des patients, et dont souffrait notamment le scientifique Stephen Hawking. Des chercheurs de l’Inserm font un bond en avant et découvrent non seulement un moyen de diagnostiquer précocement la maladie, mais aussi une cible potentielle pour un nouveau traitement.

La fluoxétine, un antidépresseur vendu notamment sous le nom commercial Prozac, suscite des interrogations quant à son impact sur le développement du cerveau du bébé. Explications.

"Les femmes ménopausées ne sont pas des jeunes femmes en manque d'œstrogènes", appuient 26 scientifiques, dénonçant la stigmatisation et les idées reçues qui font de la ménopause une période honteuse et passée sous silence. Leur revue méticuleuse de la littérature trie le vrai du faux, excluant notamment la dépression et l'anxiété des symptômes associés.

Des scientifiques américains révèlent le rôle des endocannabinoïdes, des messagers chimiques dans le système nerveux, dans la navigation spatiale. Une découverte qui ouvre des perspectives pour une meilleure compréhension des troubles neurologiques.

Alors qu'une femme sur 10 est touchée par le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), selon une étude, elles auraient 8 fois plus de risque de suicide que les femmes non atteintes par ce syndrome.

"Pourquoi dit-on souvent que l'être humain est une "espèce sociale" ?", nous demande un lecteur sur notre page Facebook. C'est notre question de la semaine.

Même en faible quantité, le vin rouge entraine parfois des céphalées. D'après une étude, c'est le dérivé d'un phénol contenu dans le vin qui en serait à l'origine, en causant l'accumulation d'une toxine dans le foie. 

Toutes les cellules de notre corps produisent des déchets dont l'accumulation est toxique. Et celles de notre cerveau ne font pas exception.

Ce troisième bras, robotique, est contrôlé uniquement par les mouvements du diaphragme, indépendamment des autres bras.

Un essai clinique vient de montrer qu’il serait possible de soigner le cerveau après un traumatisme crânien en le stimulant électriquement. Des résultats encourageants, mais perfectibles.