Quarante ans après Franco, les familles cherchent toujours leurs disparus
La mémoire des victimes reste un sujet incommode dans la péninsule Ibérique
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Sur le long mur de briques du cimetière de Grenade patiné par les années, on distingue encore l'impact des balles. C'est ici, au début de la guerre civile, durant l'été 1936, que les troupes franquistes fusillaient les «rouges», avant de les jeter dans une fosse commune sans autre cérémonie. Les touristes qui se rendent au palais de l'Alhambra tout proche ignorent ce pan de l'histoire.