À Beddawi, les réfugiés palestiniens du Liban sont devenus hôtes à leur tour pour des milliers de Syriens ayant fui la guerre. Dans ce quartier pauvre en périphérie de Tripoli, un rituel brise chaque jour la monotonie du désœuvrement. À 14 heures, les bus scolaires dévalent la route de terre qui sépare ce camp palestinien de l’école Tuyoor Al-Amal, « les oiseaux de l’espoir » en français.
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