Au Liban, les enfants syriens reprennent goût à l’école

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À l’école Tuyoor Al-Amal. Plus d’un million de Syriens vivent dans ce pays de 4,5 millions d’habitants.
À l’école Tuyoor Al-Amal. Plus d’un million de Syriens vivent dans ce pays de 4,5 millions d’habitants. ADRIENNE SURPRENANT / HANSLUCAS
L’école Les Oiseaux de l’espoir, fondée par Mustafa Al Haj, ancien enseignant à Damas, offre à 2 000 enfants syriens une éducation et un réconfort salutaires pour dépasser les traumatismes de la guerre. Un moyen aussi, pour ces enfants, d’échapper au travail.

À Beddawi, les réfugiés palestiniens du Liban sont devenus hôtes à leur tour pour des milliers de Syriens ayant fui la guerre. Dans ce quartier pauvre en périphérie de Tripoli, un rituel brise chaque jour la monotonie du désœuvrement. À 14 heures, les bus scolaires dévalent la route de terre qui sépare ce camp palestinien de l’école Tuyoor Al-Amal, « les oiseaux de l’espoir » en français.

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