La Stib se sépare de travailleurs signalés comme «radicalisés»
Certains de ces travailleurs auraient effectué des voyages vers la Turquie et/ou la Syrie pour rejoindre ou entrer en contact avec l’Etat islamique. Parmi ceux ayant fait des voyages vers la Syrie, certains étaient en congé « maladie » – ce qui rend les licenciements très sensibles. En effet, rien ne permet de se séparer d’un collaborateur pour « radicalisation » ou pour avoir effectué des séjours à l’étranger. Interrogé, le patron de la Stib, Brieuc de Meeûs, se refuse à infirmer ou confirmer ces informations.