Animaux marins

C’est une première : biologistes marins et responsables de parcs aquatiques ont participé ensemble à un atelier, ou workshop, sur la captivité. L’objectif ? Discuter des enjeux qui gravitent autour des cétacés captifs pour améliorer leurs conditions de vie, et envisager l’après.

Des chercheurs ont découvert une des explications à la résistance des poissons-clowns aux tentacules urticants des anémones de mer. Ces derniers réduisent de leur mucus les niveaux d’acide sialique, un sucre entrainant la réaction urticante des anémones.

Depuis les années 1990, on sait que les tortues marines sont sensibles au champ magnétique terrestre. Mais comment utilisent-elles ces informations ? Une nouvelle étude américaine démontre que les tortues caouannes sont capables de mémoriser les caractéristiques magnétiques de certains lieux, associés par exemple, à une nourriture abondante. 

Un diable noir, nommé scientifiquement Melanocetus johnsonii, est remonté à la surface au large de l'île de Tenerife. Une telle observation est extrêmement rare, voire inédite.

La capture au Cambodge de six poissons-chats géants rares dans le Mékong, dont certains pesant jusqu'à 130 kilos, a réjoui les défenseurs de l'environnement car l'espèce très menacée est pêchée illégalement.

Ce recul dans les populations de requins et de raies perturbe gravement les écosystèmes marins, mais des "zones d'espoirs" subsistent, où des politiques de conservation efficaces permettent de stabiliser certaines populations.

L'espèce, nouvellement décrite, a été baptisée Melita panda. Son étrange coloration ne trouve, pour l'instant, pas d'explication.

La Réunion, dans l'océan Indien, est un lieu de choix pour l'observation des mammifères marins, qui viennent y mettre bas ou s'accoupler entre juin et octobre.

Le saumon-carpe géant du Mékong, surnommé "le fantôme du Mékong", a un temps été considéré comme éteint. Mais la découverte de trois adultes en peu de temps rebat les cartes.

"Les premières observations réalisées sur le terrain font apparaître une probable contamination par un pathogène d’origine grippale", remarque la préfecture des Terres australes et antarctiques françaises.