PHOTOS. Pollution record en Chine, en triste écho à la COP21
Publié le
Galerie Comme un triste écho à la COP21 qui vient de s'ouvrir à Paris, le nord-est de la Chine connaît un pic de pollution record. Le point en images.
Sur ce panneau lumineux photographié à Pékin le 27 novembe, le Temple du Ciel, célèbre monument de la ville, apparaît sur fond de ciel bleu. Mais la réalité, on le voit, est que la capitale chinoise connaît un pic de pollution record, tout comme le reste du nord-est de la Chine. Le point en images. (AFP PHOTO/GREG BAKER)
Sous le "M" d'une célèbre enseigne de restauration rapide, un affichage vidéo montre une carte de la Chine, le tout baigné dans un nuage de pollution, à Pékin, le 1er décembre. Le sévère épisode de pollution que connaît le pays résonne comme un triste écho à la COP21 qui se tient actuellement à Paris. (MARK SCHIEFELBEIN/AP/SIPA)
Une route à Pékin, le 1er décembre, jour où une densité de 634 microgrammes de particules fines par mètre cube d'air a été enregistrée à l'ambassade américaine à Pékin, site-référence. C'est plus de 25 fois le plafond maximum de 25 fixé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). (AFP PHOTO/WANG ZHAO)
Des piétons portant des masques dans une ville de Pékin intensément polluée, le 30 novembre. Les particules de 2,5 microns de diamètre pénètrent dans les poumons et sont à l'origine de centaines de milliers de décès prématurés en Chine chaque année, rappelle l'AFP. (AFP PHOTO/FRED DUFOUR)
Pékin, le 1er décembre : dans une rue, une affiche montre une verdoyante futaie dans une ambiance diaphane. Le passant qui porte un masque rappelle la dramatique réalité. Conséquence : Pékin a été placée en alerte orange, et la fermeture de plus de 2.000 usines hautement polluantes a été décrétée. (AFP PHOTO/GREG BAKER)
Le même endroit à Pékin – un quartier de commerces et de bureaux – à deux moments où la pollution de l'air différait de beaucoup : le 1er novembre 2015 (à gauche) et ce 1er décembre, où les autorités ont recommandé à la population de rester chez elle. (MARK SCHIEFELBEIN/AP/SIPA)
Une pollution visible de l'espage : image en couleurs naturelles du nord de la Chine prise depuis le satellite Suomi NPP le 30 novembre, et diffusée sur le site du NASA Earth Observatory. On y distingue notamment un voile de brume grise qui efface presque les villes en contrebas. (NASA EARTH OBSERVATORY)
Pékin n'est pas la seule touchée. Ici, à Lianyungang, dans la province chinoise du Jiangsu, le 30 novembre, des immeubles d'habitation plongés dans une brume de pollution. (AFP PHOTO/AFP/STR)
Des pagodes quasi invisibles en raison d'un épais brouillard de pollution, à Hohhot, capitale de la région autonome de Mongolie-Intérieure, en Chine, le 29 novembre. (AFP PHOTO/STR)
Restons à Hohhot, où la statue de Gengis Khan est à peine décelable dans la masse de particules. (AFP PHOTO/STR)
Un cycliste dans une ville de Pékin intensément polluée, le 29 novembre. (ANDY WONG/AP/SIPA)
Place Tiananmen, dans la pollution, le 1er décembre. (ANDY WONG/AP/SIPA)
Place Tiananmen, des vendeurs de photos attendent des acheteurs dans le brouillard de pollution, le 1er décembre. (ANDY WONG/AP/SIPA)
Des policiers portant des masques contre la pollution, à Tiananmen, le 1er décembre. (ANDY WONG/AP/SIPA)