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Le hasard fait bien les choses. C'est grâce à des intermittents du spectacle, qui ont réclamé la restitution de leurs matériels placés sous scellés depuis l'attentat-suicide du 13 novembre, que la police judiciaire parisienne est tombée sur la jambe détachée du corps d'un des kamikazes.
Pourtant, la scène de crime avait été passée au peigne fin par la police technique et scientifique (PTS). Mais l'amoncellement de cadavres et de gravats n'avait pas permis de retrouver les corps complets des terroristes. C'est en déplaçant un amplificateur que les enquêteurs se sont rendu compte de l'oubli de leurs collègues de la PTS.
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L'analyse de la jambe n'a pas encore été effectuée pour en connaître le propriétaire. Selon une source proche de l'enquête, elle pourrait appartenir à Samy Amimour, le kamikaze de 28 ans rentré de Syrie pour commettre les crimes. Il avait rejoint la zone de djihad en octobre 2013 malgré un contrôle judiciaire qui le contraignait à pointer au commissariat de Drancy (Seine-Saint-Denis), son lieu de résidence. C'est seulement lors de sa convocation par le juge que la police remarquera qu'Amimour ne pointait plus depuis plusieurs mois.
Lire aussi Avis de recherche lancé pour deux proches de Samy Amimour
L'enquête est DONC close...
Ils ont passé la scène du crime au peigne fin selon l'article. À mon avis, il devait manquer des dents. Faut-il en rire ...? Non, cette affaire est trop sérieuse pour se l'autoriser.
90 morts, des centaines de blessés, du sang et des monceaux de chair partout... Malgré cela, vous fustigez la faute prof...essionnelle... Heureux les gens comme vous qui ne font jamais d'erreur dans leur travail...