Angela Merkel sous la pression des dresseurs de barrières
Alors qu'à l'intérieur de l'espace Schengen, les murs s'érigent, la chancelière a de moins en moins de soutien dans sa politique d'accueil.
Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
Le coup est parti de son propre camp. Angela Merkel, déjà mise en difficulté sur sa politique d'ouverture à l'égard des migrants, doit maintenant affronter l'offensive de 40 parlementaires de son parti, la CDU, signataires d'une pétition. Celle-ci réclame que l'Allemagne ferme ses frontières aux demandeurs d'asile qui auraient dû déposer leur requête dans le premier pays d'arrivée dans l'UE, conformément au Traité de Dublin. Autant dire une fermeture qui concernerait une majeure partie des arrivants! Selon cette proposition, les Syriens et les Irakiens arrivant d'Autriche, par exemple, seraient refoulés.