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Élysée

Valérie Trierweiler: "Je n'exclus pas d'écrire un livre"

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Après l’annonce de sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler livre ses confidences à "Paris Match" et au "Parisien Magazine".

L’ex-première dame s’est confiée longuement dans les colonnes de Paris Match, son employeur, et du Parisien Magazine ce vendredi.

Dans ses confidences à Match, faites au cours de son déplacement humanitaire en Inde, l’ancienne compagne du président affirme avoir "cru tomber d’un gratte-ciel" en apprenant la liaison de François Hollande et Julie Gayet à la une de Closer, le 10 janvier dernier.

Dans le texte, Valérie Trierweiler s’est évanouie, ce qui a entraîné son hospitalisation à la Pitié-Salpêtrière au lendemain des révélations. Sa tension, durant ses premiers jours à l’hôpital, chute à 6.

De la liaison supposée du chef de l'Etat, Valérie Trierweiler affirme en avoir "entendu la rumeur", mais sans y croire. "Il y en a tellement, je n'y faisais plus attention".

"Une rupture violente car médiatique"

Au Parisien Magazine, Valérie Trierweiler ajoute être "plus dans la déception que dans la colère" après sa séparation d'avec le chef de l'Etat.

"Cela peut paraître étrange mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise. Ce n'est pas la première rupture dans ma vie. Elle est violente car elle est médiatique", a-t-elle poursuivi dans les colonnes de l'hedomadaire Paris Match.

Si l'ex-première dame n’exprime pas de rancœur à l’égard de François Hollande, Valérie Trierweiler affirme au Parisien Magazine qu'elle "n'aimait pas les ors de l'Elysée". "A un moment, il n'y a plus de vie. Nous n'avons pas vécu le pouvoir de la même façon", explique-t-elle. "Ca a cassé quelque chose. J'aurais préféré une vie normale, on serait peut-être encore ensemble aujourd'hui".

"Je n'exclus pas d'écrire un livre"

Depuis l’Inde, Valérie Trierweiler et François Hollande s’échangeaient des SMS. "Il s'inquiétait de la bonne organisation du voyage et de ma santé", raconte l'ex-première dame.

La journaliste affirme par ailleurs que ce voyage humanitaire était "un retour vers la liberté, loin du monde politique et de ses trahisons". Ajoutant qu'elle avait grandement "intérêt à reprendre une vie normale le plus vite possible" pour ne pas "faire partie de la catégorie des people".

Dans ses confidences, Valérie Trierweiler ajoute également être "plus dans la déception que dans la colère" après sa séparation d'avec le chef de l’État. Avant de conclure: "Je n’exclus pas d’écrire un livre…"

S. D.