Votre navigateur est obsolète. Veuillez le mettre à jour avec la dernière version ou passer à un autre navigateur comme ChromeSafariFirefox ou Edge pour éviter les failles de sécurité et garantir les meilleures performances possibles.

Passer au contenu principal

Un sommet pour confronter la menace du terrorisme nucléaire

Barack Obama doit notamment rencontrer le président chinois Xi Jinping et le président français François Hollande.

Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici.

À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.

Le scénario élaboré par Timothy Jorgensen, un expert sur le nucléaire à l'Université de Georgetown à Washington, fait peur. Une attaque atomique similaire à celle d'Hiroshima dans la gare ferroviaire de la capitale américaine, à deux pas du Capitole, pourrait faire plus de 33 000 morts. Un attentat à la «bombe sale» ne provoquerait pas d'explosion et donc autant de victimes directes selon l'auteur de «Strange Glow, l'histoire de la radiation», mais représente une menace nettement plus concrète. «L'uranium hautement enrichi et le plutonium nécessaires à la construction d'une bombe nucléaire sont extrêmement contrôlés», explique Timothy Jorgensen. «Beaucoup plus de matières radioactives sont exposées et facile d'accès».

Les articles ABO sont réservés aux abonnés.

S'abonnerDéjà enregistré.e ou abonné.e?Se connecter