Comment abattre les silos internes avec Facebook at Work

SNCF Gares & Connexions fait partie du petit nombre d’entreprises dans le monde qui testent la version de lancement de Facebook at Work. Grâce à Laurent Solly - directeur général de Facebook France, nous avons lancé l’expérience avec une trentaine de salariés en février. Après un mois d’apprentissage, le 24 mars, nous avons ouvert Facebook at Work aux 3200 collaborateurs du groupe. Qu’ils soient en Europe, en Chine, en Inde, en Arabie ou en Afrique. Chacun peut maintenant échanger avec ses collègues comme il le fait avec ses amis sur son Facebook personnel, avec les mêmes facilités pour créer des communautés, commenter des photos, liker des vidéos ou échanger des docs. Avec la même liberté d’adhérer à des communautés ou de s’en désister. Avec le choix d’accepter ou de refuser des notifications. Avec le pouvoir de donner son idée, sa découverte, sa critique, d’où que l’on parle.

Vingt-quatre heures après le lancement, un collaborateur sur trois s’était connecté

L’expérience en vraie grandeur commence à peine mais je crois que cela va aller très vite. Les premières communautés se sont créées autour de projets, de proximités de métier et d’affinités personnelles. Les groupes sont ouverts à tous avec liberté d’adhésion et de retrait. Quelques-uns sont fermés parce que leur sujet de travail demande un moment de confidentialité. Je crois que cette façon de partager va favoriser les échanges les plus pertinents, les idées les plus innovantes, les contributions les plus riches. Il existe une forme de darwinisme de l’innovation qui attire vers ce qui est alerte, simple et qui sélectionne ce qui est nouveau et intéressant. Et quand on y réfléchit, pouvoir choisir l’origine de l’information reçue devrait assécher la messagerie par mail devenue étouffante dans beaucoup d’entreprises !

Ce sont des modes de travail décloisonnés et réactifs. J’ai la conviction qu’un réseau social d’entreprise comme celui-ci, ouvert et fluide, va transformer la circulation de l’information professionnelle de la même façon que les réseaux sociaux ont transformé la consommation de news dans nos vies personnelles. Une seule réelle différence avec les réseaux du grand public : pas d’anonymat, aucun avatar. C’est bien un croisement de la liberté et de la responsabilité. J’ai envie de partager ici, quand l’expérience sera plus avancée, ce qu’en seront les premières leçons.

Découvrez ici un article du Journal du Net sur notre lancement de Facebook at Work.

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