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L'immense façade, pâle et flanquée de deux imposants pilastres, se dresse, incongrue, majestueuse, derrière les grilles du numéro 30 de la Währinger Strasse à Vienne. Le drapeau français claque encore, malmené par le vent. En bordure du parc, le restaurant est fermé, et les propriétaires, en conflit avec l'ambassade de France, ont affiché le dessin d'un village gaulois connu qui résiste, encore et toujours, à « l'envahisseur ». Au premier étage du palais, l'assistante du directeur de l'Institut culturel français, confuse, n'a plus aucun siège à offrir : les chaises ont été emportées. Le reste du mobilier, innombrable, quittera bientôt les lieux. Une partie rejoindra les réserves du mobilier national, l'autre est attendue au palais Farnèse, à Rome. On a embauché quelqu'un, six mois de tr...
On a accusé Eric Woerth pour moins que ça !
Mais c’est vrai il n’est pas socialiste !
Le marché de l’art se se débrouille très bien sans contrat écrit en jouant sur la simultanéité des engagements et des actes. Je t’achète cela si ailleurs tu me cèdes autre chose au rabais. SFR sauve Libération le jour où Drahi obtient la concession du téléphone sous le regard de Macron. D’ailleurs récemment il vient de sortir de Libération après avoir fini de payer sa dette. Cher mais ridicule en échange de la concession du téléphone.
Fabius, on connait, responsable, mais pas coupable !