"Dans ce laboratoire, tout est prévu pour effectuer 1.000 tests EPO et 1.000 tests sanguins", a déclaré à l'ARD Gregori Rodschenkov, directeur des laboratoires anti-dopage de Moscou et de Sotchi. Le CIO a programmé, pour les jeux d'hiver, 572 tests pour détecter le dopage à l'EPO. À côté de ça, 509 contrôles sanguins sont prévus. Au total, un nombre record de 2.453 tests seront effectués.
À Sotchi, aucun test n'est prévu pour les hormones de croissance, alors que cette méthode de dopage peut, selon toute vraisemblance, être utilisée. Selon l'ARD, un nouveau test qui peut détecter à plus long terme les hormones de croissances ne sera pas utilisé à Sotchi. Et ce malgré le fait que ce test ait déjà été utilisé durant les Jeux d'été de Londres en 2012.
"Ce n'est pas parce que plusieurs laboratoires anti-dopage ont expérimenté de nouveaux tests que nous devons ici appliquer tout ce qui a été reconnu par l'Agence mondiale anti-dopage (WADA)", a déclaré à l'ARD Richard Budgett, directeur médical du CIO.
Belga