Asie-Pacifique

2024, le monde qui vient. Le Premier ministre indien, au pouvoir depuis dix ans, a des chances de remporter les élections prévues au printemps. Une bonne chose?

Immobilier, Bourse, salaires… Les gagnants des années de croissance souffrent en Chine. Mais l’Etat n’entend plus aider une population pourtant source de croissance et de stabilité.

Les géants français investissent fortement dans la première puissance économique de l’Asean, profitant de sa croissance soutenue. Et de sa stabilité, alors que le président Joko Widodo passe la main ce mercredi 14 février.

2024, le monde qui vient. Pour parvenir à ses fins, le président chinois s'alliera aux pays critiques vis-à-vis des Etats-Unis tout en présentant son pays comme le garant d'un nouvel ordre mondial qui ne tournerait plus autour de l'Occident. 

Sous pression au Niger, où sa production est à l’arrêt, le français investit dans ses très rentables gisements d’Asie centrale. Une présence stratégique pour répondre à la croissance mondiale du nucléaire.

Des youtubeurs étrangers se sont récemment vantés d'avoir pris le train gratuitement au Japon, un nouvel exemple d'incivilités de certains visiteurs de l'archipel qui irritent la population locale. Et remet sur le devant de la scène le problème du tourisme de masse.

En six ans, la plateforme américaine a réussi sa greffe en Corée du Sud. Avec ses investissements massifs, elle produit des fictions qui drainent un public mondial.

Après avoir conquis l'Asie, les feuilletons sud-coréens ont évolué depuis une dizaine d'années pour être diffusés sur toute la planète. Une industrie qui attire les géants américains et affiche ses ambitions en Europe.

En visite en Chine, le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, a plaidé ce samedi 29 juillet pour davantage d'investissements chinois en France. Un discours aux antipodes de la position de certains pays occidentaux, qui s'inquiètent de leur dépendance économique au géant asiatique.

INTERVIEW - A la tête de l’exécutif polynésien depuis mai, l’indépendantiste Moetai Brotherson, met en garde contre l’activisme chinois dans la région et appelle le gouvernement à mieux intégrer la Polynésie et la Nouvelle-Calédonie à sa stratégie indo-pacifique. Entretien exclusif.