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Le retrait de Nicolas Hulot de la course à la présidentielle, mardi 5 juillet, a rouvert la boîte à gifles au sein d'Europe Écologie-Les Verts. Depuis le début de l'année, celle-ci a pourtant déjà beaucoup fonctionné. Le parti a perdu son groupe parlementaire à l'Assemblée nationale, où ses élus siègent désormais comme non-inscrits. La propulsion de sa secrétaire nationale, Emmanuelle Cosse, au ministère du Logement ranime les vieilles querelles. Alors que celle-ci assure ne pas vouloir choisir entre le parti et le ministère, EELV la raye de la liste de ses adhérents quelques jours après sa nomination. Un peu sonnés, les nouveaux dirigeants Verts décident alors de reporter à l'été la décision d'organiser ou non une primaire. Samedi 9 juillet, il a été décidé à une majorité des deux tier...
Quand les partis sont en déroute, la solution n'est certainement pas la primaire mais un projet structuré et clair.
L'écologie n'est ni de droite, ni de gauche et concerne tous les Français. Comme je l'ai lu souvent, nos écolos en France sont ressemblent à des pastèques : vert dehors et très rouge dedans. Cela n'est pas avec les duflot ou cosse que l'on va faire évoluer l'écologie en France. Après avoir accepter les compromissions avec les socialistes en échange de postes de ministres avec tous les avantages liés à la fonction, ils cherchent une nouvelle voie. Laquelle ?
Il ne reste rien des valeurs fondatrices de ces deux partis, si ce n'est les combinaisons électoralistes. L'écologie est l'affaire de tous et certainement pas d'un minuscule parti. Quant au socialisme historique, il est mort dans tous les pays sauf la Corée du Nord. Le 21eme siècle est celui de la création de richesse dans tous les pays et surtout dans les pays dévastés par le socialisme, associée au respect de l'homme et de la femme.