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Des Ukrainiennes rompent le silence sur le viol par des récits sur Facebook

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«J'avais 11 ans. J'étais contente et fière, car j'avais rencontré deux garçons de l'école au cinéma. Ils étaient plus âgés, c'était la classe. Nous étions allés au café ensemble. Ils m'avaient ramenée chez moi et insisté pour monter sur le toit pour y voir la vue. Là-haut, ils m'ont violentée et violée. Ils ont pris leur temps. Ils ont déchiré la veste que j'avais empruntée à ma mère. Et quand je suis rentré chez moi, mon père a sorti sa ceinture pour me punir d'avoir déchiré la veste. Alors je n'ai pas raconté ce qu'il venait de se passer.» Aujourd'hui, Aliona Kavardakova a décidé de parler de cette agression sexuelle qui n'était que la première d'une longue liste. Parler. Ou plutôt écrire. Comme des centaines d'autres, c'est sur son mur Facebook qu'Aliona Kavardakova a d'abord partagé son histoire, dans la vague du mouvement #Jenaipaspeurdeparler (en ukrainien), qui tapisse les murs des réseaux sociaux ukrainiens et russes depuis le 5 juillet.

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