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Diffusées début 2014 sur le site internet du quotidien kémaliste Cumhuriyet, les images sont cruelles. Des camions affrétés par une organisation humanitaire s'apprêtent à traverser la frontière turco-syrienne. La gendarmerie turque effectue un contrôle de routine. À l'intérieur, des médicaments destinés aux victimes de la guerre civile syrienne. Mais les boîtes dissimulent un millier d'obus de mortier, des dizaines de milliers de munitions, ainsi qu'une centaine de lance-grenades. Les camions appartiennent en fait aux services de renseignements turcs. Les armes sont destinées aux rebelles islamistes syriens. « Nous ne savons pas avec précision qui était censé récupérer les cargaisons, mais cela faisait longtemps que le soutien de l'État turc aux groupes d...
Quel guépier ! La Turquie aider les organisations rebelles syrienne aux frontières très perméables avec l'E. I. ? Certainement, et nous jamais ? Je voudrais bien le croire... Mais pendant longtemps nous avions un tel rejet pour Bachar El-Assad que tout est possible, même si c'était pour de nobles raisons. En effet en matière de diplomatie, nous devons parler à tout le monde Bachar le tueur, Poutine le guerrier ne font pas exception à cette règle. Ne pas se tromper, savoir désigner nos ennemis, cela semble bien difficile pour notre gouvernement qui part souvent dans de trop nombreuses direction avec peu de moyens.
Deux ans que nous étions au courant de ces trafics entre Turquie pourvoyeuse d'armes et accueillante des djihadistes. Les vidéos étaient accessible sur internet en langue anglaise ou russe. Comment se fait il que les ministres français concernés n'aient pas réagi pour empêcher Merkel d'embarquer toute l'europe dans sa cour honteuse au sultan ? C'est pitoyable...
Ça veut entrer dans l'Europe !
Je rêve.
Pour ce genre de décision j'exige d'être consulté par référendum.