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Concordat : le terme fleure bon nos manuels d'Histoire. Quand l'État français, droit dans ses bottes chrétiennes, ferraillait avec la papauté pour consolider son pouvoir et s'arroger une Église catholique dont il n'était pas encore séparé. Or voilà que ce terme un peu désuet – hormis pour l'Alsace-Lorraine – resurgit à propos de l'islam après chaque attentat. Comme une vieille muselière oubliée dont on se souviendrait qu'elle a jadis servi – pour les catholiques. Faudrait-il un concordat avec l'islam ? On prête l'idée à l'entourage de Bernard Cazeneuve, qui a démenti, alors que Manuel Valls refuse toute "tentation néo-concordataire" ; à droite, Gérald Darmanin la murmure aux oreilles de Nicolas Sarkozy, tandis qu'Éric Ciotti s'y oppose... "Ce concordat signifierait clairement ce qui est...
Pour lebeurah !
La question c'est comment permettre, autant que possible, aux croyants sunnites de nationalité française de pratiquer leur culte dans le respect de nos principes : respect de la liberté de conscience et égalité légale entre hommes et femmes, croyants et non croyants... Etc. (-> voir DUDH et autre).
Il me semble que prendre le temps de consulter les institutions reconnues constitue un préalable indispensable. Il ne me semble pas que cela ai été fait (et médiatisé !).
Non tout le monde il est pas beau et gentil ! Et je vous rappelle que quelque soit le "dignitaire" islamiste qui donne une opinion, il y en a une multitude d'autres qui donnent une opinion inverse ! Voire qui lancent une fatwa.
d'autre part l'islam est à la fois religion ET loi, donc ?...
N'a rien à faire en France, tant que les catholiques ne pourront pas pratiquer leur religion dans les pays arabes... !