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Einstein avait deviné que, après sa mort, on ne le laisserait pas tranquille. Voilà pourquoi il demanda à être incinéré. Il n'avait cependant pas prévu que le médecin légiste chargé de l'examiner après son décès, le docteur Thomas Harvey, prélèverait son... cerveau.
Ainsi débute l'odyssée de l'encéphale du savant, qu'on va se mettre à dépiauter pour y dénicher les preuves neurologiques de son génie. Photographiée sous tous les angles, démembrée en 240 blocs, puis découpée en fines lamelles, l'illustre matière grise est soumise à rude épreuve, auscultée par Harvey, qui en conclut que ledit cerveau est plutôt moins volumineux que la moyenne, mais que le cortex préfrontal (zone du raisonnement) et surtout les lobes pariétaux (celle des capacités mathématiques et de la vision...
Je doute qu'à sa mort (qu'elle soit tardive) on étudie l'encéphale de PasDeBol.
Pas la peine de faire un article là-dessus, surtout si c'est pour le terminer sans même voir une analogie entre les plis et replis de cet encéphale avec ceux de l'espace temps autour de la matière... Analogie idiote de toutes façons !
Il n'a pas respecté les volontés d'Einstein en volant son cerveau avant l'incinération et en l'utilisant pour sa propre promotion !