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Que cachait vraiment la Maison de la prévention et de la famille pilotée par la militante Sonia Imloul ? Au printemps 2014, alors que des dizaines de jeunes rejoignent la Syrie, Sonia Imloul ouvre une structure en Seine-Saint-Denis, avec l'appui du ministère de l'Intérieur. Objectif : offrir un soutien aux familles dont les enfants sont partis faire le djihad et mettre en oeuvre quelques techniques de désendoctrinement des jeunes en voie de radicalisation.
Dans un livre intitulé Cellule de déradicalisation. Chronique d'une désillusion, aux éditions Michalon, Julien Revial, un ex-employé de la structure, raconte son expérience. Qui ne s'avère pas très reluisante... Selon L'Express, qui a lu l'ouvrage, Sonia Imloul se présente tantôt en juriste, tantôt en psychologue, tantôt en policière. Alors que la structure vient d'ouvrir et qu'elle en est à ses balbutiements, le défilé des médias commence. « Un mois après notre emménagement, nous avions déjà reçu cinq organes de presse et seulement deux familles », raconte Julien Revial.
Une seule psychologue « stagiaire »
Sonia Imloul raconte partout que sept employés sont embauchés par la Maison de la prévention, qui fonctionne « presque 24 heures sur 24 » et qui suit, dit-elle, une trentaine de familles. Une fois encore, la réalité est tout autre : « Nous avons mené au total trois démarches de prévention de la radicalisation », précise Julien Revial. Il ajoute : « [Nos effectifs] n'ont jamais dépassé cinq ou six personnes en nous comptant, Sonia et moi, ainsi que notre unique psychologue stagiaire. »
La Maison de la prévention fait aujourd'hui l'objet d'une enquête judiciaire, mais le ministère de l'Intérieur se garde bien de faire des vagues, car « pour eux, nous étions un laboratoire médiatique bien utile » pour montrer que l'État se mobilisait, peste Julien Revial. En 2015, les subventions publiques, qui n'étaient déjà pas très élevées, ne sont pas renouvelées. On laisse couler ce centre embarrassant... Sonia Imloul, elle, devra certainement répondre d'étranges pratiques, comme cette sous-location à des étudiantes de deux-pièces du fameux appartement. Dont l'adresse était censée demeurer secrète.
Je n'y étais pas (né en 1953), mais on voit dans les films d'époque moins de lodens que de manteaux de cuir noir surmontés de feutres ! Bon, ceci dit, pour cet hiver je ferai (peut-être) l'impasse et l'hiver prochain, qui sait, je le ressortirai si le contexte politique s'y prête !
QUELLES COMPÉTENCES POUR CE POSTE ?
QUEL SALAIRE ?
QUEL BUDGET D'ARGENT PUBLIC DILAPIDÉ ?
QUELLES SANCTIONS SERONT PRISES ?
c'est déjà désagréable qu'on nous prenne pour des cons mais si en plus c'est nos impôts.
L'honneur des socialistes est en jeu !
Car beaucoup de gens qui passent des heures dans les transports ou n'ont pas le temps d'aller sur le site du Point "gobent" ce que les politiques disent ou ce que des informations télévisées d'une durée beaucoup trop courte et qui ne parlent quasiment jamais de ce genre de scandales.
Avec ce gouvernement l'enfumage est tel qu'on pourrait endormir une centaine de ruches.
Au fait Monsieur TSUMP votre opinion sur ce sujet nous intéresserait