La peur s'empare de toute l'industrie du luxe
Le groupe Richemont ou le français Hermès voit leur bénéfice chuter. Un certain âge d'or disparaît.
Le point d'activité auquel s'est livré mercredi le deuxième plus grand conglomérat mondial de marques de luxe a donné froid dans le dos à tout un secteur. Le groupe Richemont – qui convoquait à Genève ses actionnaires en assemblée générale – s'attend à une chute de 45% des bénéfices opérationnels qui seront inscrits à la fin de septembre dans ses comptes semestriels.