Primaire à droite en émojis: ce que les candidats pensent de leurs adversaires

Sept candidats, un climat tendu, des favoris qui ne cessent de se descendre par médias interposés. Le premier débat de la primaire à droite qui se tient ce jeudi soir promet d'être animé. Rancoeurs tenaces, affaires en cours... Tout peut être prétexte à l'animosité. D'autant que les candidats ne partent pas sur la même ligne de départ.

Cela devient trop compliqué? Vous vous perdez dans les enjeux? Non. Toutes ces luttes, tous ces intérêts divergents peuvent tenir en une image. La preuve, L'Express l'a fait et résume le regard que chacun pose sur ces rivaux à travers des portraits en émojis.

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Il y a les deux grands favoris, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, qui devront se démarquer tout en restant crédibles. S'attaquer sur le fond, mais pas trop, afin de pouvoir envisager de se rallier au vainqueur.

On trouve ensuite les challengers, Bruno Le Maire et François Fillon. Les deux hommes luttent désormais à égalité. La primaire à gauche l'a démontré en 2011, parvenir à bien se classer peut permettre d'accéder à un portefeuille ministériel.

Et puis il y a les autres, encore marginalisés, qui misent sans doute beaucoup sur les débats pour se montrer, et espérer ainsi une remontée dans les sondages. Ce sont aujourd'hui les Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-Frédéric Poisson et Jean-François Copé.

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