Le Conseil d'État : un acteur politique ?

Le Conseil d'État au Palais-Royal, dont Jean-Marc Sauvé est le vice-président ©AFP - GEOFFROY VAN DER HASSELT
Le Conseil d'État au Palais-Royal, dont Jean-Marc Sauvé est le vice-président ©AFP - GEOFFROY VAN DER HASSELT
Le Conseil d'État au Palais-Royal, dont Jean-Marc Sauvé est le vice-président ©AFP - GEOFFROY VAN DER HASSELT
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Si le Conseil d’État, en tant qu’institution, n’entre jamais ouvertement dans l’arène politique, l’influence qu’il exerce justifie néanmoins qu’on tente de s'interroger sur son rôle, son poids sur la vie politique française.

Avec
  • Jean-Marc Sauvé Président de la commission d'enquête indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise, vice-président honoraire du conseil d'Etat

Plus d’un an après son instauration pour une période initiale de trois mois, l’Etat d’urgence, décrété par François Hollande au soir des attentats du 13 novembre 2015, est toujours en place. Prolongé jusqu’en janvier 2017, il devrait être maintenu au moins jusqu’à la fin des élections présidentielles de mai 2017, comme François Hollande et Manuel Valls en ont tous deux publiquement émis le souhait. Redouté par ceux qui craignent des atteintes à nos libertés individuelles et publiques, critiqué pour son apparent manque d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme islamique, l’Etat d’urgence est remis en cause par de nombreux observateurs qui souhaitent y mettre un terme ou, au contraire, en étendre encore la portée.

L'état d'urgence

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Face à ces dérives potentielles, seul le Conseil d’Etat est compétent pour tracer les limites de l’Etat de Droit. Son vice-président, Jean-Marc Sauvé, est l’invité de Guillaume Erner dans Les Matins de France Culture.

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