Visite du dernier village avant Tchernobyl, à l’heure où l’on recouvre la centrale de Tchernobyl d’un sarcophage

La fête foraine à Pipiat, laissée comme telle au moment de l’évacuation ©Radio France - Sébastien Baer
La fête foraine à Pipiat, laissée comme telle au moment de l’évacuation ©Radio France - Sébastien Baer
La fête foraine à Pipiat, laissée comme telle au moment de l’évacuation ©Radio France - Sébastien Baer
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Aujourd'hui, à part quelques touristes s’égaillant dans la zone autour de la centrale accidentée et de son nouveau dôme, la ville est devenue fantôme.

La ville de Pripyat se trouve en Ukraine, à trois kilomètres de la centrale nucléaire de Tchernobyl.

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Figée au lendemain de la catastrophe du 26 avril 1986, la totalité des 50 000 habitants avaient été évacués par bus - avec la promesse d’y revenir trois jours plus tard. Trente ans après, la ville est inhabitable et inhabitée, les immeubles, bureaux, habitations, écoles sont vides. La nature a repris ses droits.

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Auto-tamponneuses dans la fête foraine dans la ville fantôme de Pripiat, à 3 kilomètres de Tchernobyl
Auto-tamponneuses dans la fête foraine dans la ville fantôme de Pripiat, à 3 kilomètres de Tchernobyl
© Radio France - Manuel Ruffez
Panneau d'entrée Pripiat, ville créée en 1970 afin d'héberger les employés de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Au pied, couronnes et bouquets.
Panneau d'entrée Pripiat, ville créée en 1970 afin d'héberger les employés de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Au pied, couronnes et bouquets.
© Radio France - Manuel Ruffez
Logements (vides) à Pripiat. La forte radioactivité ambiante empêche le repeuplement de la ville.
Logements (vides) à Pripiat. La forte radioactivité ambiante empêche le repeuplement de la ville.
© Radio France - Manuel Ruffez

Reportage de Manuel Ruffez à Pripiat, dans la zone d'exclusion de 30 km mise en place autour de la centrale après la catastrophe nucléaire de 1986.

Et aussi, au Cachemire Indien

Le Cachemire connait depuis près de cinq mois la plus violente insurrection de ces six dernières années

Le 8 Juillet dernier, Burhan Wani, l'un des plus célèbres combattants indépendantistes cachemiris, était assassiné par l'Armée indienne. Aussitôt, une vague de manifestations s'est déclenchée... elle a été très violemment réprimé.

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Reportage de notre correspondant à New Delhi

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