LES PLUS LUS
Publicité
Publicité

De Macron à Fillon, les principales réactions à l'abandon de Hollande

© OLIVIER MORIN / AFP
La Rédaction , Mis à jour le

Après une déclaration placée sous le signe de l'émotion jeudi soir, les politiques de tous bords ont réagi à la décision de François Hollande de ne pas se présenter.

Les élus et responsables politiques de droite comme de gauche ont réagi jeudi soir à l'annonce choc de François Hollande , qui renonce à être candidat à la présidence de la République. Beaucoup, même à droite, louent cette démarche inédite sous la Vème République. Nombreux sont ceux, aussi, qui soulignent l'échec considérable du président Hollande.

Publicité

A lire aussi : Manuel Valls salue "le choix d'un chef d'Etat"

La suite après cette publicité

Le candidat à la présidentielle Emmanuel Macron

La suite après cette publicité

«Je pense que c'était une allocution extrêmement difficile pour le président de la République. C'est une décision courageuse, et une décision digne. J'ai toujours exprimé mon respect à l'égard de la personne et de la fonction», a déclaré l'ancien ministre sur RTL. «Je pense que c'est une décision qu'il a prise en conscience, qu'il a mûrie. Je pense que ce que le président de la République a annoncé aux Français est une décision éminemment difficile à exprimer. Il a lui-même fait état de son bilan, de la situation de la France et de tout ce qu'il y a fait. Avec aussi l'état des échecs relatifs et de ses regrets. Et compte tenu du contexte je crois que c'était une décision courageuse à prendre et il l'a prise».

A lire aussi : Frédéric Cuvillier : "La gauche est orpheline d'Hollande"

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Le candidat LR à la présidentielle, François Fillon

Le président PS de l'Assemblée nationale Claude Bartolone

La décision de François Hollande de renoncer à un second mandat est "un geste de dignité et de responsabilité". Par cette décision "prise au nom de l'intérêt supérieur du pays", il a considéré que "François Hollande lègue aux socialistes, mais plus largement à la gauche, une immense responsabilité : celle de se placer au bon niveau de l'Histoire". "Plus que jamais, nous devons à nos compatriotes une primaire digne, vivante et capable de rassembler toutes les forces de la gauche, des écologistes et des progressistes, pour permettre la victoire au printemps prochain" à la présidentielle, a-t-il estimé dans ce communiqué en son nom propre, non en sa qualité de président PS de l'Assemblée nationale.

Le candidat à la primaire de la gauche, Arnaud Montebourg

"Il a pris en conscience une décision difficile et hautement courageuse (...) qui permet à la gauche de préparer sereinement son avenir, qui commence aujourd'hui avec la primaire de la gauche", a de son côté réagi au cours d'une réunion publique à Pau Arnaud Montebourg, autre ministre de l'Economie déçu du quinquennat.

L'ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira

Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis

Le président de la région Paca, Christian Estrosi

La candidate à la primaire de la gauche, Marie-Noëlle Lienemann

Le candidat de «la France insoumise», Jean-Luc Mélenchon

Le vice-président du FN, Florian Philippot

Le député LR Luc Chatel

Le candidat de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan

Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault

L'eurodéputée LR Nadine Morano

L'ancienne ministre Delphine Batho

Contenus sponsorisés

Publicité