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Ban Ki-moon, victime collatérale du scandale Park

Ban Ki-moon, qui vient de quitter ses fonctins de secrétaire général des Nations Unies, voit ses chances d'accéder à la présidence de la Corée du Sud s'amoindrir.

Le scandale qui a débouché sur un projet de destitution de la présidente sud-coréenne, Park Geun-Hye, voté par l'Assemblée nationale le 9 décembre, n'en finit pas de faire des vagues. Jeudi, la Cour constitutionnelle commençait à examiner la validité de cette procédure. Les juges ont 180 jours pour entériner ou non, la motion des députés. S'ils la confirment, l'élection présidentielle agendée fin 2017, pourrait intervenir dans les soixante jours après le départ de l'actuelle locataire de la Maison Bleue, le palais présidentiel à Séoul.

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