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On a prié les auteurs de Charlie Hebdo, le jour d'après d'aller voir ailleurs. On les a soupçonnés d'être téléguidés. On leur a reproché, honte à eux, de remuer la boue : tous ces morts, et ils fragiliseraient les survivants en racontant leurs querelles intestines ? Comment osaient-ils...
Assez vite après le 7 janvier, des informations avaient filtré sur des dissensions au sein de la rédaction de l'hebdo martyr : des comptes rendus de réunions confidentielles étaient discrètement envoyés à l'AFP, des tribunes étaient publiées. On savait donc depuis le début ou presque qu'au-delà du drame et de son immense portée politique quelque chose ne tournait plus rond à Charlie Hebdo. Alors près de deux ans plus tard, Marie Bordet, journaliste au Poin...
Quand l'on en vient à comparer les victimes de ce terrible tremblement de terre italien à de la sauce bolognaise on ne peut que haïr.
Ah oui j'oubliais, il est vrai que je ne suis pas adepte du second, du troisième ou du quatrième degré.
Et j'ose le dire haut et fort
Dans ces "commentaires"... Je n'aimais pas ceci, je n'aimais pas cela...
j'aimais Charlie et avant lui hara-kiri hebdo parce-que ces gens avait du talent et, comme toujours, le talent dérange.
Reiser, Willem, Cavana, Cabu... Resteront des grands noms de la caricature satirique, les meilleurs enfants de mai 68, loin de la violence dogmatique des petits penseurs de la "révolution", les Maos, trotskos et autres cocos tellement moins sympathiques (et plus dangereux).