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Donald Trump attend un plan « pour vaincre » l’EI d’ici un mois

La mission revient au nouveau secrétaire de la défense de trouver des moyens de priver les djihadistes de financement, ainsi que de nouveaux partenaires pour la coalition.

Le Monde avec AFP

Publié le 29 janvier 2017 à 01h55, modifié le 29 janvier 2017 à 01h55

Temps de Lecture 1 min.

James Mattis devra notamment trouver des moyens de donner plus de latitude aux troupes pour combattre l’EI.

Le nouveau président américain Donald Trump a donné jusqu’à fin février à ses responsables militaires pour lui présenter un plan « pour vaincre » le groupe Etat islamique (EI). Il devra comprendre « une stratégie exhaustive », selon le texte du décret signé samedi 28 janvier soir par M. Trump et publié par la Maison Blanche. Une « ébauche du plan pour vaincre l’EI » devra être présentée dans les 30 jours.

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Le président remplit ainsi l’une de ses promesses de campagne, lui qui pendant des mois avait moqué et critiqué la lenteur des progrès dans la lutte contre le groupe djihadiste Etat islamique.

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James Mattis à la recherche de nouveaux partenaires pour la coalition

Le nouveau secrétaire à la Défense, James Mattis, devra notamment trouver des moyens de donner plus de latitude aux troupes pour combattre l’EI « dans le respect des lois internationales », s’attaquer à l’EI sur tous les fronts y compris sur internet et proposer des mécanismes permettant de priver les djihadistes de financement. Le décret demande aussi à James Mattis, « d’identifier de nouveaux partenaires pour la coalition (mise en place par les Etats-Unis contre l’EI) ».

La Russie a déjà manifesté samedi, après un entretien téléphonique entre MM. Trump et Poutine, leur volonté commune d’arriver à « une réelle coordination contre l’EI en Syrie ».

Une option que les militaires américains voient avec méfiance estimant que les Russes sont avant tout en Syrie pour soutenir le régime de Bachar al-Assad.

Un déploiement des troupes américaines en Syrie envisagé

M. Trump pourrait choisir de bousculer la stratégie de son prédécesseur Barack Obama, qui voulait éviter à tout prix d’impliquer les troupes américaines au sol dans les combats et leur avait pour l’essentiel assigné un rôle de conseil.

Pour l’instant, les Américains ont déployé un peu plus de 5 000 militaires en Irak aux côtés des troupes irakiennes, et près de 500 soldats des forces spéciales en Syrie, aux côtés essentiellement des Forces démocratiques syriennes, une coalition arabo-kurde.

Les avions américains – et ceux appartenant à la coalition internationale – bombardent aussi quotidiennement les djihadistes depuis l’été 2014. La perspective d’un renforcement des troupes américaines pourrait particulièrement s’envisager en Syrie.

Les militaires américains pourraient ainsi être déployés en plus grand nombre pour aider les forces qui prendront d’assaut la ville de Rakka, la capitale auto-proclamée de l’EI, selon la presse américaine.

Le Monde avec AFP

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